1. Nathalie et moi : première rencontre


    Datte: 01/03/2018, Catégories: fh, hplusag, extracon, piscine, hotel, intermast, Oral journal, extraconj, Auteur: Patswing, Source: Revebebe

    ... doigt vient effleurer le clito, déclenchant comme prévu (pour certaines choses, mesdames, vous êtes si agréablement prévisibles !) un énième changement du rythme de sa respiration…
    
    Je redresse de nouveau le majeur, puis c’est de toute la main, depuis le haut du pubis jusqu’au bas de sa chatte (je n’ose pas encore m’approcher de son anus, une cible de choix que je me garde pour plus tard… Rappelle-toi, cher lecteur, j’aime qu’une femme me supplie de lui faire des choses qu’elle ne désirait pas au départ mais que moi je veux… L’anus d’une femme, je ne me l’approprie pas, elle me le donne, elle me demande que je lui fasse la faveur de le prendre en cadeau…) que je caresse son minou. Je sens déjà la différence de température entre l’eau du bain et l’humidité qui s’échappe de sa chatte, je sens aussi la différente de viscosité en passant d’un milieu humide à un milieu d’une autre humidité…
    
    Nathalie, plus du tout habituée à des caresses avant intromission de doigts ou du sexe de son mari, respirait de plus en plus fort et profitait de ce qu’enfin on s’occupe d’elle. Dix minutes auparavant, elle était timide, réservée, vêtue d’un maillot de bains en guise de dernier rempart, là elle soufflait, ahanait, gémissait, les jambes largement écartées, elle m’embrassait comme une furie. Et je ne faisais que la caresser un peu ! Que dire alors lorsque par surprise, j’enfonçai un doigt dans sa grotte déjà ouverte d’excitation, et qu’en deux ou trois mouvements, j’ai pu détecter cette ...
    ... texture de peau différente marquant son point G… À chaque passage de mont doigt sur ce spot si bien marqué (depuis, je n’ai jamais eu la moindre difficulté à la faire jouir d’un seul doigt, bien qu’elle adorât qu’il y en ait quatre) elle se tendait, ses mouvements devenaient spasmodiques. Elle souffla son orgasme sur mes lèvres en un long gémissement de femelle longtemps frustrée et enfin assouvie.
    
    Mais d’assouvissement, il n’en n’était pas encore question. Je ne lui laissai guère le temps de récupérer, après tout ce n’était pas un orgasme ravageur et dévastateur, juste un orgasmounet. Je lui demande de s’asseoir sur un siège intégré dans la baignoire, ce qui laissait son sexe hors de l’eau, tout juste. J’avais envie de la gâter de ma bouche et de ma langue, pas de me noyer en ce faisant…
    
    J’ai pu donc goûter ses délicieuses sécrétions intimes. Oui, je dis bien délicieuses, elles avaient un goût exquis. J’ai goûté quelques dizaines de chattes, certaines m’ont directement dégoûté, d’autres étaient sans aucun goût, cette chatte-ci avait réellement un goût parfait. Je ne sais toujours pas l’expliquer, d’ailleurs. De la langue, je fouille ses lèvres intimes, je viens chercher son bouton (qui au premier contact du bout de ma langue jaillit de son capuchon comme s’il avait attendu cela toute sa vie de petit clito triste), je l’enferme dans ma bouche, je le suce, tout en le titillant de la langue, ou je frotte doucement les dents dessus… Il ne fallut pas longtemps pour que le ...
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