1. Justine et le voisin (1)


    Datte: 16/05/2019, Catégories: Hétéro Auteur: Julia Nonyme, Source: Xstory

    ... obscènes mais ô combien excitants ! Nous allions toujours plus vite, chaque pénétration me rapprochait de l’orgasme et me faisait gémir. Je suppliais Tristan d’accélérer et d’aller plus vite. Il s’occupait aussi de ma poitrine, buvant le sillon entre mes seins où la sueur affluait, léchant la rondeur de mes seins et titillant mes tétons.
    
    Il était accroché à ces derniers comme si sa vie en dépendait, les tétant avec ardeur comme un nouveau-né, comme s’il espérait en faire sortir du lait. Je remontais son visage vers moi car je voulais le voir. Son visage était contracté et beau, il y était presque. Chaque fois qu’il s’enfonçait, il lâchait un nouveau gémissement rauque qu’il m’excitait encore plus que tout le reste. Je lui chuchotai à l’oreille :
    
    — Tu me fais mouiller... Je dégouline pour toi...
    
    Il poussa un rugissement encore plus animal et accéléra ses coups de reins encore. Le lit grinçait dangereusement, cognant le mur encore et encore, comme ce pénis qui me frappait encore et encore...
    
    Je me rapprochais de ma jouissance, mon vagin était en feu et chaque pénétration produisait un bruit obscène de clapotis, mais qui m’excitait et je sentais que Tristan aussi.
    
    — Hmmm ! Han ! ...
    ... Han ! Oh oui putain oui ! T’es tellement bonne bébé ! Je vais venir ! Je vais venir !
    
    Nos mouvements étaient frénétiques et nous voudrions violemment. Tout à coup, le lit de cassa et s’effondra, nous faisant tomber à la renverse et rouler, sans que Tristan sorte de moi. Nous ne fîmes même pas attention au reste, Tristan repris ses mouvements sur le sol, et je venais, je venais.
    
    — Oui ! Oui ! Ouiiiiiii ! Ça vient ! Han ! Hmmmmmmm ! Haaaaaaaaaaaaaaan !
    
    Tristan se déversa en moi en de copieux jets, provoquant ma propre jouissance !
    
    — Haaaaaan ! Oh je te sens ! Oui oui, c’est trop bon ! Haaaaaaaaan !
    
    Tristant s’effondra sur moi, la tête posée sur mes seins, pendant que nous reprenions nos esprits.
    
    — Alors ça valait le coup de casser ta télé ?
    
    — J’ai jamais cassé ma télé c’était un prétexte pour venir, me chuchota-t-il dans l’oreille.
    
    Cette phrase me fit fondre le cœur et m’excita à nouveau instantanément, ce que Tristan comprit vite.
    
    Il passa le week-end à mon prendre absolument partout. Sur mon bureau, sur le lit cassé, par terre, dans le couloir, devant une fenêtre, dans la cuisine, dans le salon et même les escaliers !
    
    Et chaque fois était meilleure que la précédente 
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