Palais-Royal
Datte: 16/05/2019,
Catégories:
fh,
ff,
grp,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Partouze / Groupe
confession,
Auteur: A .de C., Source: Revebebe
... pour le costume, vous ne pensez pas vous rendre à une soirée de Béatrix ainsi vêtu, même si l’harmonie et la qualité de vos vêtements prouvent votre bon goût. Allez, monsieur du Bois de Boulogne, ôtez moi tout ça, tenez voilà un valet. Je reviens.
Dans ce petit local bien plus long que large, empli de costumes, je suis à peu près au milieu, à côté d’un escalier en colimaçon conduisant à l’étage. Je me retrouve à peu près nu, juste vêtu d’un boxer noir.
Mon hôtesse réapparaît, elle porte sur le bras une robe longue vert amande avec un tour de cou terminé par une dentelle blanche, une perruque rousse et une paire de ballerines de danse.
— Essayez-moi ça. Et pensez à retirer le boxer.
— M’habiller en femme ?
Au fond pourquoi pas, ce soir j’ai décidé de vivre sans repère, juste me laisser porter par mes sens et ce travestissement m’amuse.
— Bien sûr en femme, ici la règle est ainsi faite, inversion des sexes à l’exception de Béatrix, de Monsieur et de son ami.
Vite je m’habille, j’ai envie de plonger dans cet univers. Cette habilleuse a beaucoup de talent, tout est parfait. Mon image que je découvre sur ses recommandations dans le grand miroir au fond de la boutique me trouble.
— Vous aller avoir beaucoup de succès, Victor va vous montrez le chemin.
Le chien couché un peu plus loin se lève, se frotte contre ma robe et s’engage dans le petit escalier hélicoïdal, nous arrivons face à une porte fermée et il me fait comprendre que je dois l’ouvrir.
Là, ...
... j’arrive sur un palier. Au sol, un dallage noir et blanc, sur le mur de pierres à gauche une applique diffuse une lumière blafarde et permet de découvrir une porte entrouverte sur une pièce illuminée par une sonate jouée au clavecin. J’entre, des corps sont enlacés. Au plafond un magnifique lustre en cristal éteint reflète la lumière émise par des candélabres à quatre branches posés sur deux petites tables et créent une atmosphère particulière, comprise entre lumière et obscurité.
Deux femmes dans un cabriolet se cajolent, l’une laisse voir une poitrine nue aux larges mamelons bruns, l’autre, culotte de satin descendue sur les cuisses, exhibe un sexe glabre ; elles s’embrassent. Leurs bras autour de leurs corps s’entrelacent comme probablement leurs langues. Un peu plus loin, une femme entièrement nue s’abandonne à deux hommes habillés. Je l’entends pousser de petits cris. L’un des hommes la saisit dans ses bras et dépose cette femme sur une grande table de bois sombre. Le bougeoir qui y est posé vacille un court instant. L’un des partenaires immobilise les bras de la femme ; la lumière éclaire un sexe à la toison brune, drue, parfaitement dessiné. L’autre homme fait glisser son pantalon sur ses cuisses, découvrant un beau membre. Monsieur, probablement, comme le nommait mon habilleuse. Il s’approche de la table, saisit les chevilles de la femme, écarte ses cuisses et voit le rose de son con devenir rouge. Son sexe est absorbé par la femme. L’autre partenaire se déshabille à ...