La tempête de neige (1)
Datte: 16/05/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: naipas, Source: Xstory
... l’amour. Je me trompe?
-Non, j’aime faire l’amour. Du moins j’aimais le faire du temps de mon mari. Mais, comme je te l’ai dit dans le train, j’en avais un peu perdu l’habitude et c’est plus par nécessité physique que je le faisais de temps en temps. Je ne m’imaginais pas qu’avec toi, c’était autre chose.
— Toi, tu m’as appris beaucoup ce soir. Cela ne s’oublie jamais. Vive la neige!
Je la repris dans mes bras et l’embrassai passionnément. Elle se dégagea.
-Tu n’as pas soif?
— Oui.
— Que veux-tu?
— Le jus salé qui coule de ta chatte.
— Allons, sois sérieux!
— Je suis sérieux, j’ai encore envie de goûter à ta cyprine.
— Après si tu veux. Regarde, les lèvres de ma chatte sont toutes gonflées tant tu les as sucées. Je vais me rafraîchir un peu et je t’apporte un jus d’orange.
Je veux la saisir pour l’attirer sur le lit, mais elle se dérobe et se sauve à la cuisine. J’attends patiemment deux ou trois minutes. Ne la voyant pas revenir, je me glisse hors du lit, me dirige vers la cuisine. Marie-Anne est en train de se contempler dans le grand miroir. Elle a saisi ses mamelons et les tripote entre le pouce et l’index. Je regarde et soudain, je vois ses yeux se mouiller. Une de ses mains glisse sur son ventre, s’insinue entre les cuisses et lentement caresse sa moule ouverte. Je ne dis rien, m’avance vers elle et, sans la brusquer, je lui retire sa main pour placer la mienne.
— Ah! Tu triches, dis-je en souriant.
Pour toute réponse, elle prend ...
... ma pine dans sa main libre et recommence à la masser jusqu’à ce qu’elle redevienne dure.
— Toi aussi, répond-elle. Je veux recommencer. Tu m’as réellement fait jouir comme jamais. Tu peux me croire. Je sais ce que je dis. De toute ma vie, même avec mon mari, je n’ai joui autant et aussi fort que ce soir avec toi. Tu es un amant merveilleux et je ne souviendrai de toi toute ma vie.
Je m’écarte d’elle pour la laisser remplir les verres. Nous buvons lentement ce jus de fruits parfumé de rhum. Je la dévisage. Les petites taches roses qui parsemaient son corps après l’amour n’ont pas disparu, preuve de la violence de ses orgasmes. Qu’elle est belle dans sa nudité, les pointes de seins dressées comme une invite, le ventre un peu bombé, de longues jambes qui se rejoignent sur son sexe gonflé aux lèvres ouvertes surmontées d’une toison aux petites boucles châtain clair.
Machinalement, je regarde ma montre. Il est presque deux heures. Comme le temps passe vite quand on est heureux. Et je le suis, plus que si j’étais rentré sans problème dans mon pays des Fagnes. Je pose mon verre et lui prends la main. Elle se colle contre moi. Je sens ses mamelons sur ma peau et sa bouche sur la mienne. Je me rends compte qu’elle a encore envie. Alors, je l’entraîne dans la chambre en la tenant par les fesses tandis qu’elle a posé sa main libre sur ma queue qui rebande déjà.
— J’ai envie de recommencer.
— Et toi?
— Moi aussi.
— Que veux-tu?
— Une bonne minette pour me faire ...