Découverte du plaisir avec ma mère (2)
Datte: 16/05/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: michelxl, Source: Xstory
... de ma verge, je n’ai jamais connu ce plaisir qui m’envahit peu à peu de la tête aux pieds.
On continue ainsi, je ne sais combien, j’entends maman râler et dire :
— Va plus vite bébé, plus vite
J’accélère mon pilonnage avec une fougue ordonnée.
— Oui, mon amour, oui bien au fond, oui, bourre moi bien trésor, Oui plus vite amour plus vite
J’active plus prestement mes coups de butoir au fond de sa chatte, elle me serre avec ses cuisses. Je sens ses ongles qui s’accrochent à mon échine, ses râles deviennent gémissements. Elle laboure mon dos avec ses ongles maintenant. Elle arque son corps contre mon bas-ventre, je prends ses fesses à deux mains et la colle encore plus contre moi. Elle crie
— Oui, baise-moi, baise-moi bébé, bourre ta mère, ta maitresse, ta femme, ta chienne oui !!! plus fort, plus vite
Je regarde maman, je vois son visage changer, devenir plus beige, ses yeux deviennent vides, maman ressent son plaisir venir de ses entrailles, je connais le processus. Je suis excité de la voir arriver au paroxysme de son futur orgasme.
Ses gémissements se confondent à des plaintes, elle hurle…
— Oui, je jouis, j’arrive, des onomatopées en tout genre me viennent aux oreilles, oui, je jouis amour, je jouis
Elle me griffe carrément le dos, s’arque boute, me trempe de sa cyprine qui découle de son ventre, je suis près d’exploser aussi. Je râle, je m’enfonce au plus loin et lâche mes jets de foutre dans maman. Mère doit les ressentir car elle se remet ...
... à gémir de plus belle, se tend à nouveau.
— Oui, oui ! jouis mon fils jouis en moi, oh ! je reviens je reviens amour je jouis je jouis.
Je reste à l’intérieur de maman, je regarde son visage, celui-ci revient à la normale peu à peu. Je reprends mon souffle, mes esprits, j’ai joui en maman, énorme, incroyable. Quelles délectations subies en si peu de temps. Je suis au summum de tous les délices…
Je m’écroule sur maman, je sens les palpitations cardiaques de mère, elles sont encore rapides.
Elle me caresse la nuque, m’embrasse la joue gauche, me murmure à l’oreille :
— Mon Thomas, mon amour, tu m’as fait atteindre des voluptés jamais ressenties en bravant tous les interdits. Tu es un amant des plus merveilleux, je t’aime.
— Je n’ai jamais joui avec cette intensité, maman, jamais, le fait de jouir dans ta chatte, c’est tellement inouï. Ma première chatte et ma première jouissance dans une chatte, maman tu es sublime pour moi. C’est si merveilleux, maman merci de t’être donné, je t’aime…
— Je suis fière d’être ton pygmalion mon amour. Savoir que je te procure tes premiers émois d’amour sexuel et découvrir que tu es un génial et intuitif amant, que l’on s’aime réellement en tout, tel cupidon le cœur tu me transperces avec ses flèches de voluptés… L’engouement de notre relation d’amour me fait franchir des caps totalement inconnus de mon esprit jusqu’à ce jour. Je t’aime mon fils dans tous les sens possibles du terme.
Je me couche sur le côté de maman, on ...