1. Avec des amies comme ça… (26)


    Datte: 15/05/2019, Catégories: Trash, Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory

    ... ta bouche pour les sucer, ça sera un bon début... Et pour la suite, je suis sûr qu’ils te feront facilement comprendre par quel trou ils veulent te baiser. »
    
    Pendant que je faisais aparté avec Lisa, les hommes discutaient eux aussi entre eux. À les voir se désigner du doigt et les quelques haussement de ton, je compris qu’ils discutaient de leur ordre de passage.
    
    Le premier était Djibril, normal, c’est lui qui avait donné l’autorisation pour que j’amène ma copine. Il fit signe à Lisa de la suivre. Comme elle restait paralysée, je la poussais dans le dos pour la mettre en mouvement. Ce fut suffisant pour que le grand noir lui saisisse la main et la conduise vers une autre tente un peu plus à l’écart. Sur le trajet, je vis qu’elle était morte de trouille. Elle savait que sa jolie petite moule allait se faire abondamment tringler, et cette perspective n’avait pas l’air de la mettre en joie.
    
    Dans un camp de migrant, il n’existe pas de tente vraiment isolée. Tout au plus il peut y avoir quelques mètres de distances avec ses plus proches voisines. Et c’est sans compter que les gens s’ennuient ; la moindre nouveauté ou dispute attire toujours un attroupement de curieux. Alors voir cette jeune blanche entrer seule dans une tente avec Djibril, cela provoqua une cohue monstre.
    
    Leurs ébats amoureux furent suivis comme un match de foot. Tous étaient attentifs aux bruits que faisaient la jeune femme et son baiseur. Ils essayaient de deviner ce qui se passait dans la tente. ...
    ... Le suçait-elle ? Se faisait-elle ramoner ? On l’entendit bien crier à plusieurs reprises, mais il était difficile de savoir si elle couinait de plaisir de se faire fourrer, ou si elle criait de douleur après s’être fait profondément enculer.
    
    Lorsque Djibril sortit, il raconta ses exploits sexuels aux membres de son ethnie, mais je ne comprenais rien à son dialecte. Pendant ce temps, un autre homme entra vite sous la tente et refit pousser les hauts cris à mon amie, ça je parvenais à comprendre.
    
    Le jour se passa tranquillement, les hommes pénétraient dans la tente les couilles pleines, et en ressortaient après s’être vidée dans un des trois trous de Lisa. Au crépuscule, elle sortit en pleurs de la tente (Djibril avait négocié qu’elle ait droit à une demi-heure de pause au bout de trois heures de baise). Elle vint me voir, expliquant qu’elle ne pouvait pas continuer comme ça, qu’elle n’était pas une pute, que ce n’était pas digne d’elle. En retour, je maniais la carotte et le bâton. Je lui expliquais que si elle se comportait bien et ne se faisait pas chasser du camp, elle pourrait sans doute reprendre une vie normale un jour ou l’autre. J’allais dire à nos amies et ses parents qu’elle s’était portée volontaire pour aider les migrants dans un bateau en Méditerranée, et qu’elle serait absente jusqu’en hivers. Comme ça, le gang la rechercherait au mauvais endroit. Bien sûr, pour que le gang crût cela, il fallait qu’elle reste dans le camp bien cachée pour au moins trois ...
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