Ma belle-soeur Virginie 2 - Histoires de Sexe

Ma belle-soeur Virginie 2

... durs, je lâche les fesses de la belle à leur profit. Je les caresse, les titille, les soupèse. Virginie cesse de m’embrasser et plonge ma tête vers sa poitrine, je peux alors l’embrasser, la lécher. Le sein gauche retient toute mon attention, je l’attrape, le presse un peu plus fort et le tète goulûment, ce qui arrache quelques gémissements à ma douce Virginie. Elle repousse ma tête vers l’arrière et me regarde droit dans les yeux.

— Tu es un coquin toi, tu sais que j’adore ça et tu en profites, mais c’est trop facile.

Pendant qu’elle parle Virginie défait ma ceinture et enlève mon pantalon et mon caleçon.

— C’est vrai que je fonds sous ta langue mais on va voir si tu résistes à la mienne. En tout cas, ça semble t’avoir bien plu tout ça, dit elle en regardant ma queue bandée au maximum.

Virginie s’agenouille entre mes genoux et se saisit de ma verge. Elle me branle doucement, l’embrasse, la passe sur ses lèvres et commence à la lécher comme une glace. Je commence déjà à gémir de plaisir, Virginie me fait un clin d’œil et prend mon gland dans sa bouche. Ce fourreau brûlant me fait gémir davantage, elle m’excite vraiment beaucoup et sait y faire. Je regarde ce visage angélique aspirer ma queue, mais si ça continue comme ça je ne vais pas tarder à exploser. Je pousse la tête de Virginie pour libérer mon sexe, ce qui la fait sourire.

— Ben alors, tu ne résistes pas ?
— C’est ça, rigole, fais-moi voir ta jolie petite chatte que je joue avec aussi, on va voir qui ...

... résiste le mieux.

Virginie enlève son string et vient à côté de moi sur le canapé. Elle s’allonge en posant sa tête sur l’accoudoir, je caresse son ventre puis son sexe, je remonte ses jambes et Virginie les tient relevées et pliées sur son ventre avec ses bras ; j’ai ainsi totalement accès à son sexe déjà trempé. Je le lèche doucement, écarte ses lèvres avec mes deux pouces et le lèche de plus belle. J’enfonce ma langue le plus loin possible puis lèche calmement le tour de son clitoris. Virginie respire de plus en plus vite et fort.

— Oh Richard… Richard… c’est bon… oui !

Je fais une pause avant d’avoir une crampe à la langue (ça peut sembler ridicule mais c’est douloureux, je ne le souhaite à personne). Je passe un doigt sur cette petite chatte trempée et descends jusque sur son anus trempé lui aussi. J’y rentre facilement mon doigt, tout doucement au cas où elle n’aimerait pas mais elle ne me dit rien. J’entre deux doigts en parallèle, dans son anus et dans sa chatte et l’excite ainsi quelques instants. Virginie attrape mon sexe, le serre et le branle doucement.

— Prends-moi Richard, j’ai envie de ta queue, prends-moi s’il te plaît.

Inutile de me le répéter, je la tire vers moi, m’installe entre ses cuisses et la pénètre. Virginie tient fermement mes fesses et accentue mon mouvement.

— Oui… oui… oui, oh Richard, c’est bon !

Le rythme s’accélère encore, je ne peux pas aller plus vite et commence à fatiguer, un coup de reins sec lui arrache un cri et je ...