J'ai sauvé mon couple en trompant mon mari !
Datte: 15/05/2019,
Catégories:
fh,
hbi,
couple,
extracon,
cocus,
inconnu,
jardin,
hsoumis,
fdomine,
vengeance,
jalousie,
Oral
fsodo,
init,
Auteur: Julie, Source: Revebebe
... et de ses doigts. J’étais proche de l’endormissement quand son gland vint se placer à l’entrée préparée.
Il entra doucement, lentement mais sûrement. Il ressortait de temps en temps pour remettre un peu de salive. Une fois au fond de moi, il se pencha pour s’approcher de mon oreille. Il me murmura :
— Lààà… Tu sens ma bite au fond de toi ? C’est ça que tu voulais ? Te sentir salope pour te venger de ton homme ? Ça te plaît de savoir que tu vas rentrer le voir la conscience tranquille et le cul plein ?
Il commençait à bouger en moi, et sa main s’est glissée entre mes jambes pour chatouiller mon clitoris. Je commençais à y prendre goût. Et lui commençait à dire des choses de plus en plus osées, certainement encouragé par mon silence et mes soupirs.
— Ça te plaît de savoir que tu vas enfin pouvoir rentrer et lui montrer que tu t’es vengée ? Tu aimes savoir que c’est une autre bite que la sienne en toi ?
À force de me poser des questions, j’ai répondu, doucement au début.
— Oui, je crois ; je sais pas trop, c’est agréable.
Et effectivement, c’était agréable ! Dans l’état second où j’étais, sentir ce sexe coulisser en moi et ces doigts branler mon clitoris me procurait une extase douce… Et si au début je ne pensais pas à Thierry, les paroles de mon amant finirent par me faire prendre également un plaisir sadique à le tromper.
Je ne sais pas combien de temps le rapport a duré. Mais mon amant semblait très excité de baiser une femme en couple.
— Je vais te ...
... remplir les fesses ; tu lui feras constater ton état. Tu sens ton petit trou tout dilaté ? Tu pourras lui dire de te baiser sans te prévenir : tu seras toute chaude, ouverte, et lubrifiée…
Et mon esprit de s’échauffer :
— Oui, je lui ferai tester sa chienne déjà saillie ; je lui ferai sentir ton odeur…
Finalement, il a joui en moi sans que je ne le sente vraiment. C’est quand il s’est affalé sur moi que j’ai compris. Nous sommes restés comme ça un moment, profitant de l’instant. Le jour était presque levé. J’étais toujours dans la même position, mais le soutien de la balancelle avait évité que je ne sois mal. Mes genoux commençaient tout de même à souffrir, et je le dis à mon amant.
— J’ai mal aux genoux un peu ; enlève-toi.
— Attends, reste comme ça.
Il s’est retiré lentement, laissant mon anus béant… Puis il a attrapé un bouchon de liège, vestige de notre nuit alcoolisée, et l’a introduit dans mes fesses avant de remonter mon string.
— Voilà : comme ça, tu resteras bien pleine pour ton homme !
Je me suis relevée et nous sommes retournés vers la maison. Tout le monde dormait évidemment ; je ne savais pas où était passée Amandine, ni même si elle était revenue… Jean-Claude, mon cocufieur improvisé, a proposé de me ramener chez moi, ce que j’ai accepté vu l’heure et mon état.
Le trajet s’est fait sans commentaires, mais il a insisté pour me raccompagner jusqu’à ma porte.
— Ça m’excite de savoir que tu es pleine pour ton homme. Ça t’excite, toi ?
— ...