1. Femme oui, mais pour combien de temps... (1)


    Datte: 15/05/2019, Catégories: Divers, Auteur: Persea, Source: Xstory

    ... me redressai et engloutis son sexe jusque dans mon gosier. Le sperme avait un goût légèrement âcre qui s’imprégnait dans mon palais. Je suçai, léchai et dégustai toute la semence que je pus…
    
    — Bah merde, t’aimes vraiment ça ! s’exclama Pierre. La bite et le jus… t’aimes ça ! Dis voir, tu me lècherais pas les couilles ? J’adore et je pense que je pourrais te rebaiser si tu me bouffes les couilles…
    
    Me faire baiser à nouveau ? Bien sur que j’en avais envie… tout comme lécher ses couilles, m’enivrer de leur odeur, pouvoir les tâter comme je le voulais et pourquoi pas sentir les jets de foutre de cet homme me remplir la bouche et avaler tout ce qu’il pouvait encore expulser de ses couilles…
    
    Je me relevai et fis passer le pull de Pierre par-dessus sa tête. Et il se déshabilla à la hâte. Nu il était plutôt pas mal comme homme même avec son ventre, bien qu’il n’aurait pas fallu qu’il en ait plus… Il avait une toison noire sur la poitrine, des bras et des jambes assez poilus également. Sa bite semblait reprendre un peu de vigueur, au-dessus d’une paire de couilles lourdes et couvertes de poils… Je soupesai ses testicules et Pierre gémit. La peau était chaude, élastique et moite, les bourses pesaient dans ma main… Je tombai à genoux et enfouis mon visage dans la masse des couilles. Les poils dégageaient une forte odeur qui m’emplissait les narines et m’excitait. Je passai ma langue partout sur le scrotum et avalai un des testicules. Je le mâchouillais doucement dans ma ...
    ... bouche et mon palais s’imprégnait d’un goût âcre et tenace. Je savourais ce goût d’homme et Pierre gémissait de plus en plus. Sa bite se redressait au-dessus de moi, me dominait fièrement avec le gland tellement turgescent qu’il paraissait sur le point d’exploser. Ma langue avait léché chaque centimètre de peau des couilles et je remontais maintenant le long de la verge dont les veines battaient. L’homme me saisit brutalement par les cheveux et pressa son gland contre mes lèvres en se masturbant. Il râla très vite et m’enfonça violemment sa bite dans la gorge en plaquant mon visage contre son ventre et en déchargeant son sperme à grands jets épais et chauds.
    
    Et moi je savourais ce nectar d’homme qui me remplissait toute la bouche et s’écoulait dans mon gosier…
    
    — Oh putain ! soufflait Pierre. Ce pied ! Baiser une meuf pareille et lui faire bouffer mon foutre… j’y crois pas...
    
    Je me rajustai en me demandant que faire… si j’allais rentrer chez moi ou non. Mais si je rentrais et me rendormais, j’allais me réveiller un peu plus tard avec mon corps lourd et velu et n’aurais plus qu’un vague souvenir de ce rêve… Ou plus du tout… C’était hors de question…
    
    Je quittai Pierre sans lui promettre de revenir alors qu’il me suppliait presque. Je me disais que peut-être je le reverrais le lendemain et que lui en voyant passer un homme le dépassant d’une tête et ayant la carrure d’une armoire à glace, il ne pourrait jamais imaginer qu’il s’agissait de la meuf qu’il avait baisée la ...
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