1. Le visiteur inconnu


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, inconnu, ascenseur, fsoumise, hdomine, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, baillon, fouetfesse, journal, Auteur: Manofsam, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :Emma et Paul connaissent quelques difficultés de couple, à cause du manque de désir de ce dernier. Alors qu’Emma désespère, elle parvient à réveiller sa libido au téléphone. Désormais, elle se réjouit des retrouvailles qui approchent…(Voir récits 14409, 14413 et 14415)
    
    4 – Le visiteur inconnu
    
    Cher journal,
    
    Ce matin, Paul m’a appelée depuis chez ses parents. Bonne nouvelle : il rentre demain et il a hâte de me faire l’amour ! Nous avons parlé un peu et puis j’ai dû raccrocher pour aller au boulot. La journée fut longue. Le stagiaire me regarde vraiment bizarrement, je crois qu’il a des vues sur moi, mais bien sûr, il est trop nigaud pour tenter quoi que ce soit. Je dois l’impressionner, dans mes tailleurs noirs stricts. Je crois que, si mes problèmes de couple ne s’étaient pas arrangés, j’aurais bien joué un peu avec lui. En tout bien tout honneur, cela va de soi ! J’avoue que ses regards peu assurés ne me laissent pas indifférente. J’aime la façon dont il baisse les yeux sur mes seins. C’est presque un crime, de me soustraire à sa vue : ce pauvre garçon n’a jamais dû voir une fille nue. Enfin, sauf si sa prétendue copine existe vraiment…
    
    Il ne se passe plus une journée sans qu’une aventure sexuelle nouvelle m’arrive. À croire que la dépression de Paul avait fini par endormir ma libido aussi. Aujourd’hui elle est bien réveillée. Il m’est d’ailleurs arrivé quelque chose de bizarre. Cela aurait pu être assez grave, mais étant ...
    ... donné que j’étais plutôt consentante, je préfère dédramatiser la situation. J’ai fini par trouver une explication très simple à ce qui s’est passé.
    
    Ce soir donc, je rentre du boulot vers 18 h 30, les bras chargés de sacs en papier kraft dans lesquels se trouvent quelques petites courses pour préparer un bon petit plat pour Paul et moi demain. Les bras encombrés, j’ouvre tant bien que mal la porte de mon immeuble et je rentre dans la cage d’escalier. Celle-ci est particulièrement sombre. Je m’avance vers la boîte aux lettres, l’ouvre pour prendre le courrier que je coince dans ma bouche, et je referme la boîte de mon mieux lorsque soudain une main se pose fermement sur mon épaule. Je pousse un petit cri, laisse tomber mon courrier, tandis que la personne derrière moi tente de me rassurer par un « chhhht ! » Une voix chuchotante mais ferme m’intime l’ordre de ne pas me retourner et d’écouter calmement. J’obtempère : cette présence inattendue m’a fait sursauter, mais la présence de l’appartement du concierge à quelques mètres plus loin me rassure. Dans le pire des cas, je peux me mettre à hurler et me précipiter à sa porte, ou mieux encore, lancer mes paquets au visage de cet inconnu et monter quatre à quatre les marches qui mènent à mon appartement. Le quartier où nous vivons n’est pas particulièrement mal famé – je m’en veux d’avoir un raisonnement aussi cliché, mais au moins il me rassure. Je décide donc d’écouter ce que cet individu a à me dire. Les battements de mon cœur ...
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