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Le bon coin
Datte: 14/05/2019, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
... le terrain glissant de la sexualité. Il était patent que ma sainte Blandine était taraudée par la queue ou plutôt que l'autre salaud l’avait converti à cette nouvelle religion. Elle semblait chagrinée en effet de ne pouvoir plus baiser. Tartuffe je lui dis qu’elle n'avait fait rien de grave et qu’elle avait bien fait de larguer ce coquin. Manifestement rassurée car pardonnée elle se leva avec difficulté pour faire un bon café. En effet nous avions trop picolé. Peu après je la rejoignis dans la cuisine. Là machinalement encore sous le coup de l'alcool je vins juste derrière elle l'enlacer. Elle se laissa faire et tourna la tête afin de que je pus l'embrasser. Nous ne pouvions aller plus loin. Dans une demi-heure les gosses rentraient. Il nous était interdit de nous laisser aller à de telles bêtises. Je n'en caressais pas moins son cul. Elle me pressa la bite au travers du pantalon. Le week-end heureusement se profilait. C'était celui où l'ex garderait les enfants. Il allait les emmener chez sa mère en province. Blandine mutine me dit qu’elle avait envie de profiter de monter nombre de choses dans le grenier et de refaire le papier peint dans une chambre. Bref elle avait volontiers besoin de bras. Je perçus parfaitement le message. Tout mon chagrin s'était envolé. Finalement l'épisode de l'autre gorille avait du bon. Je n'eus pas pu autrement obtenir les faveurs de ma chère Blandine. A l'égard des voisins il fallait cependant faire bonne figure. Ceux-ci de toute façon ...
... médisaient sûrement sur nous. Ce samedi matin aussitôt que la porte fut fermée, elle se jeta sur ma bouche. Elle m'avait reçu dans sa robe de chambre. Dessous elle avait des sous-vêtements rouges affriolants dont des bas chair tout délicieux. Dessus ses petites mules claquant sur le sol elle dandinait du cul. Je tombais des nues. Je n'avais jamais perçu de façon quelconque ce côté garce. J'avais du mal à imaginer que ce put être si récent. Elle s'était bien moquée de moi. Elle avait du avoir nombre d'amants. Ceux des copains du mari qui la relançaient avaient pu en être en effet. Cette idée me rendit furieux. Je n'aime pas être berné. Bref j’escomptais bien me venger et me payer sur la bête. Cette salope m'avait fait trop bander. Elle devait le payer. Nous passâmes de la case départ à celle du pieu. Ancien engagé et familier des prostituées je pus éprouver qu’elle était une sacrée garce. Elle suçait de façon incomparable. Elle avait appris cela depuis longtemps. Décidément je n'avais rien vu venir. Cette comédienne m'avait joué depuis le début. J'étais cependant bon joueur. Je pus l'enculer. Elle aimait se faire foutre de cette façon. Elle n'avait cure que je ne fus un Apollon. Elle m'avoua plus tard que ma bedaine mon crâne chauve et mes soixante ans ne lui répugnaient pas. Au contraire cela l'excitait : un homme mur, viril et cochon. Elle goûtait ma poitrine poilue et tous mes biscotos. Je sus par la suite que Giuseppe le livreur de mazout l'avait maintes fois ...