1. Road trip aux U.S.A. (1)


    Datte: 14/05/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: letsplay57, Source: Xstory

    ... et puis comment il était devenu extracteur de gaz de schiste. Il avait eu une vie très aventureuse, malheureusement, dit-il, sans voir la chance d’avoir des enfants. Il était très sympathique, même s’il ne s’empêchait pas de lorgner de manière insistante, dans le décolleté d’Aurélie. Il faut dire que celle-ci, comme souvent, n’avait pas mis de soutien-gorge, et que quand elle se penchait en avant pour saisir un plat ou une bouteille, le vieux vicieux devait avoir une belle vue plongeante. Aurélie, candide, ne se rendait compte de rien, alors que je laissais faire bien volontiers. En effet, j’aimais toujours que les regards des hommes se posent sur le corps de ma fiancée, qu’ils la désirent en sachant que c’est moi qui lui ferai l’amour le soir venu. Et puis, la vue de cette jolie fille, ça devait bien émoustiller ce vieil homme, qui n’avait certainement pas pu voir de si belle poitrine depuis des années, sauf peut-être à la télévision.
    
    Après un dernier verre de Caribou, nous prîmes congé de notre hôte et nous rejoignîmes notre chambre. Celle-ci était spacieuse et propre, mais la salle de bain était sur le palier, commune avec notre hôte, ce qui était souvent le cas dans les B&B. Après nous être lavé les dents, nous nous sommes retrouvés Aurélie et moi dans notre chambre, et la séance de matage en règle qu’elle avait subi, sans s’en rendre compte, m’avait émoustillé. Je lui attrapais la tête et l’embrassais amoureusement. Mes mains parcouraient son torse, s’immisçaient ...
    ... sous son tee shirt et attrapaient ses seins, lui procurant un petit gémissement. Nous sommes extrêmement compatibles sexuellement, nous savons toujours de manière instinctive ce que l’autre veut, ce dont il a envie. Je baissais donc son short et son string et, la basculant sur le lit, je me mis à genoux pour lui prodiguer un cunnilingus qui je le savais aller la faire fondre.
    
    Le résultat ne se fit pas attendre. Alors que ma langue titillait son clitoris, puis lapait ses grandes lèvres, sa respiration commença à s’accélérer et Aurélie lâcha des petits cris de plaisir. Rapidement, je sentis son corps se tendre et elle fût submergée par une vague de jouissance. Sa cyprine, qui a un goût fantastique, doux et sucré, m’inonda la bouche. Je me relevais alors et, baissant mon pantalon, je la pénétrai de toute la longueur de mon sexe. Elle accueillit cette intromission dans un feulement. J’avais été copieusement excité par les préliminaires, et au bout de quelques minutes de vas et viens langoureux, et alors qu’elle venait de jouir pour la deuxième fois dans un cri à peine étouffé, je me répandais en elle dans un râle de plaisir. En train de récupérer, lové contre elle, il me semblait entendre un bruit derrière la porte, mais, en tendant l’oreille, plus aucun bruit ne se fit entendre. Je devais avoir rêvé.
    
    Après s’être un peu reposée, Aurélie m’annonça qu’elle allait prendre une douche avant de dormir. Elle enfila juste son t-shirt, nue dessous, pour se rendre à la salle de bain, ...