1. Les chevauchés sauvages


    Datte: 13/05/2019, Catégories: fh, grp, fplusag, jeunes, inconnu, grossexe, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fsodo, bourge, Auteur: Toubab, Source: Revebebe

    ... adopte, la façon dont elle exprime son plaisir… Isabelle n’est pas du genre sensuel mais sexuel, tendance cochonne-qui-en-redemande. Elle ne suce pas, elle vous dévore le chibre. Et elle n’a rien contre les ruades un peu viriles d’un mec un tantinet macho. Le tout sur un fond sonore où les « oui ! oui ! » le disputent aux gémissements rauques à demi-étouffés.
    
    En sortant de sa chambre le lendemain midi, je suis vidé et, sans me vanter, je peux dire qu’elle a adoré ses tours de poney. Elle espère me revoir lors d’une prochaine soirée. Je le lui promets car je sais que je reviendrai. Parce que, franchement, être payé pour participer à une soirée où on est quasiment sûr de trouver une maîtresse pour la nuit, c’est une sorte de graal pour le jeune obsédé que j’étais.
    
    Et je suis revenu. Nathalie et Johanna organisent une soirée presque tous les quinze jours, sauf pendant les vacances. Je vais quasiment à une sur deux. Je me lie d’amitié avec mes homologues masculins et jouis d’un excellent bouche-à-oreille auprès de ces dames. Ou, plutôt, devrais-je parler de clientes car, quoi qu’en disent les deux amies, si ces femmes paient aussi cher la soirée, ce n’est pas seulement pour discuter CAC 40 avec des jeunes gens bien sous tous rapports. Personnellement, il ne m’est arrivé que trois ou quatre fois qu’une femme qui avait sollicité ma compagnie pendant la soirée ne m’ait pas demandé de coucher avec elle. C’est peu quand on songe qu’il y en a très exactement trente-sept qui ont ...
    ... profité de mon gros bâton d’amour.
    
    Trente-sept. Des « one-shot », d’autres qui sont revenues plusieurs fois, et quelques unes avec lesquelles je suis parti en voyage pour un week-end plus ou moins long.
    
    Trente-sept. Je le sais, elles sont toutes répertoriées dans mon petit carnet.
    
    Chacune avec une identité codée : « Larousso » dont le corps était constellé de petites tâches de rousseur. « Madame » qui m’imposait le vouvoiement même lorsque je lui défonçais l’arrière-train en la traitant de salope. « Cow-girl » qui voulait toujours être au-dessus pour me chevaucher de face, de dos ou de côté. « Mélusine » avec qui la fée-lation était magique. « Trévise », la femme-fontaine…
    
    Trente-sept. De l’à-peine trentenaire qui s’offre un étalon à la presque sexagénaire qui cherche à assouvir ses pulsions. Des petites, des grandes. Des maigres, des rondes. Des seins tout mini, des poitrines généreuses. Des culs rabougris, des fesses somptueuses. Certaines qui cherchaient d’abord une compagnie, une oreille attentive et une amitié sensuelle. D’autres principalement intéressées par le sexe, par ma queue. Et, pour chacune, une façon bien particulière de prendre du plaisir, d’en donner, et de l’exprimer.
    
    Trente-sept. Et une seule mauvaise surprise. Une dame dont le délire était de faire mal au mâle. Le genre à essayer de vous lacérer le torse avec des ongles de trois centimètres de long, à vous serrer le cou dans un début de strangulation ou à vous mettre de gifles en éructant : « ...
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