Des camarades de classe (3)
Datte: 13/05/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory
Les résultats scolaires de Philippe et Cyrille s’améliorèrent grandement grâce aux devoirs faits en commun les mercredis après-midi. Ils avaient un alibi pour se voir et ils travaillaient à l’entretenir. Donc, une fois qu’ils s’étaient donnés l’un à l’autre et vidé les couilles mutuellement, ils faisaient leurs devoirs en commun.
Leurs parents, soulagés par la hausse de leurs résultats, voyaient d’un bon œil cette entraide, sans se douter cependant que ce n’était là que la partie visible de l’iceberg. Et quand les soirs, en sortant du lycée, ils se retrouvaient dans un lieu discret pour une pénétration ou une fellation fugace, ils n’avaient qu’à prétexter avoir passé un moment avec l’autre pour comprendre un devoir qui leur posait problème, réviser une leçon qu’ils n’étaient pas sûrs d’avoir entièrement saisie pour apaiser les inquiétudes parentales.
Au gré des absences des parents de l’un ou de l’autre, le lieu des devoirs et des ébats changeait avec leur bénédiction. Philippe avait une grande sœur en fac. Marion poursuivait ses études de psychologie et habitait à deux cent kilomètres, dans l’académie voisine. Elle ne revenait en général que pour les fêtes de fin d’année et les grandes vacances. Ainsi sa chambre était le plus souvent inoccupée et il arriva que les parents de Philippe invitent Cyrille à passer le week-end chez eux. Mais ce n’était pas les moments les plus propices pour des ébats, puisqu’ils avaient toujours la crainte d’être surpris par les ...
... parents.
Au fil des semaines, il s’avéra que Cyrille aimait plus se faire prendre que l’inverse. Il y prenait beaucoup de plaisir et attendait toujours impatiemment de se faire déboîter le trou par son copain. D’autre part, sa verge de taille tout ce qu’il y avait de plus normale ne pouvait rivaliser avec celle de Philippe qui, sans être exceptionnelle, avait des dimensions à même de donner beaucoup de plaisir rien que par sa taille. Cyrille adorait sans limite sentir ce pieu écarter ses sphincters, et quand Philippe se mettait à lui ramoner la cheminée, il entrait dans une autre dimension. D’autre part, lorsque Cyrille éjaculait, il lui fallait longtemps avant de pouvoir remettre le couvert alors que son ami se remettait plus rapidement en état de marche et arrivait à jouir plusieurs fois, pour son plus grand bonheur.
Cyrille était allongé contre Philippe. Sa tête reposait sur le torse de son ami, et d’une main gauche très adroite il lui flattait son service trois-pièces afin de lui redonner un peu de vigueur. Pendant près d’une heure, son copain lui avait copieusement limé le fion dans plein de positions et il se sentait encore ouvert. Heureux et ouvert.
─ J’aime quand tu viens sur moi, que tu me domines, que tu prends possession de moi, de mon cul.
─ Tu voudrais être mon esclave et que je te force à faire des trucs ?
─ Non, ce n’est pas ça. C’est plus que tu me mettes au défi de faire quelque chose plutôt que d’être réellement forcé.
─ Et quoi par exemple ?
─ Je ...