Soumise, sinon rien. (17)
Datte: 13/05/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: xicemanx, Source: Xstory
... treuil. Et à partir de demain, je pourrais te pendre dans la position dans laquelle tu es, ou d’autres... et t’y laisser toute une journée ou toute une nuit.
Elle me fit signe "oui" de la tête.
— En attendant, je vais te libérer de tes liens au pieds et t’enlever ton bâillon-boule. Tu resteras les mains attachées jusqu’à demain. Et tu vas venir me sucer. Mais doucement, tout doucement. Tu dois me faire plaisir mais pas me faire jouir trop vite. Tu as compris ?
— Oui, j’ai bien compris, rassure toi.
— Tu aimes que je maltraite tes seins ?
— Oui, j’aime ça. Tu t’en occupes si bien.
— Je ne voudrais pas trop les abimer, car c’est quelque chose que j’aime particulièrement. Mais je te promets que je vais m’en occuper comme il se doit, fais-moi confiance. Allez, au boulot.
Elle commençait alors son travail, léchant ma hampe, mes couilles, venant suçoter le gland, puis se mit à le sucer plus longuement, le décalottant. De temps en temps, je lui tenais la tête pour lui enfoncer ma queue le plus possible au fond de la gorge. Puis elle ressortait et recommençait à me lécher, etc...
Au bout de 30 minutes, je sentais que j’allais venir. Je la stoppai alors, me leva et partit me coucher.
— Sans un mot, sans une parole, tu vas me rejoindre dans ma chambre, en étant à genoux. Tu monteras sur le lit, comme une bonne petite chienne, et tu viendras prendre ma bite dans ta bouche. Quand j’aurai joui, bien évidemment, tu suceras tout jusqu’à la dernière goutte, puis ...
... tu avaleras. Quand ce sera fait, tu me montreras que ta bouche est vide, puis toujours sans un mot, tu iras te coucher dans ta chambre. Compris.
Acquiescement de la tête.
Elle accomplissait son travail remarquablement bien. Je me vidai dans sa bouche. Elle avala et s’en alla se coucher, sans un mot.
Je profitai alors d’une bonne nuit de sommeil... marqué cependant par son histoire...
Le lendemain matin, alors que j’ouvrais les yeux, je la vis, à genoux au pied du lit. Je tapotais sur le lit, comme pour faire monter son animal de compagnie, et elle vint prendre sa place, entre mes cuisses pour son petit déj matinal.
Pendant qu’elle s’activait à sa tâche, je lui dis que j’avais réfléchi. Et que j’acceptai sa demande, à la condition que cela ne change rien. Et qu’on verrait les détails par la suite...
Elle s’arrêta de me sucer, pour me répondre.
— Merci Fabien. Vraiment Merci. Tu ne peux pas savoir combien je suis heureuse. Je ferais TOUT ce que tu veux, tu ne regretteras pas ton choix.
— Oui. En attendant qu’on en reparle, fini ton job. Ensuite, tu iras prendre ton vrai p’tit déj, puis douche rapide. Vu le temps, tu mettras un pantalon et pour le haut, juste ta veste en cuir, que tu laisseras ouverte, bien entendu.
— Ok. On va ou ?
— Te faire anneler. Percer les seins, si tu préfères.
— Parfait. Et est ce qu’après, tu pourrais me faire l’amour ???
— On verra ça. Mais si tu veux te faire baiser, je connais des gens intéressés...
Nous voilà ...