1. Les inconnus (1)


    Datte: 28/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: michelle2, Source: Xstory

    ... dit :
    
    — Pourquoi vous cachez-vous ? Vous avez un corps magnifique ?
    
    Mon oncle surenchérit :
    
    — Oui, tu es déjà belle, habillée, mais nue, c’est un plaisir pour les yeux !
    
    Je rougis au compliment de mon oncle qui ne me quitte pas du regard.
    
    Bon, je reprends mes esprits et ensemble nous faisons un plongeon dans l’eau de la piscine.
    
    Nous jouons avec un ballon, les rires et les blagues fusent à chaque loupé.
    
    Un peu fatiguées, ma tante et les hôtes sortent du bain, et s’étendent sur l’herbe.
    
    Moi, je m’accroche au bord du bassin.
    
    Mon oncle arrive comme une balle, il rit et se plaque contre mon corps, il fait mine de vouloir me couler, mais je sens que c’est une astuce pour se frotter contre moi.
    
    Ma tante rit aux éclats lorsque je me dégage de lui et appuie sur sa tête pour lui faire boire la tasse.
    
    Je me raccroche au bord du bassin.
    
    Il remonte doucement, se re plaque contre moi, en faisant exprès de tousser.
    
    Ses mains glissent sur mon ventre et frôlent mon sexe; je le repousse doucement.
    
    Il quitte mon ventre pour palper mon postérieur.
    
    — Tu es bien joufflue Cloé ! dit-il en riant.
    
    Ma tante ajoute :
    
    — c’est vrai qu’elle a un beau cul notre nièce !
    
    Les hôtes l’affirment en souriant;
    
    Je sors de la piscine, et m’allonge près de ma tante.
    
    L’homme, toujours nu, nous apporte un verre; il est le bienvenu, car avec les petits frottements de mon ...
    ... oncle sur mon corps, je suis tout émue.
    
    La femme se place sur le dos, son compagnon se place juste à côté, et lui passe une crème sur le corps; sa main fait des cercles sur la peau.
    
    Il s’attarde sur les seins, il prend soin de bien faire tourner ses doigts sur les aréoles.
    
    Comme par enchantement, les bouts se dressent.
    
    La femme ferme les yeux, et soupire lorsqu’il roule entre ses doigts les mamelons tendus.
    
    Tante se place d’une telle manière, qu’elle ne perd rien du spectacle.
    
    Mon oncle sort de la piscine, il s’étend près de sa femme, il regarde le couple qui, sans retenue, s’ébat.
    
    La main de l’homme, enduite de crème, frotte le ventre un petit moment, la femme écarte les jambes.
    
    L’homme prend place entre les cuisses ouvertes et enduit l’entrejambe de crème; il frictionne la vulve et enfonce ses doigts un à un.
    
    La femme grogne lorsqu’il lui enfonce la main jusqu’au poignet.
    
    La tante se redresse et écarquille les yeux, elle me jette un regard qui en dit long.
    
    Mon oncle se lève, s’approche du couple; il saisit les seins de la femme dont les bouts sont toujours dressés.
    
    Il les pétrit, de plus en plus brutalement, la femme rugit lorsque son homme la ramone violemment, on voit la main soulever la peau du ventre, tellement la femme est décharnée.
    
    Aisément, il tourne la main à l’intérieur de la chatte, la femme agite son bassin, et pousse des:
    
    — Oui oui oui ! 
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