1. Bénédict...ions (6)


    Datte: 11/05/2019, Catégories: Trash, Auteur: deepysex, Source: Xstory

    Voilà déjà bientôt un an que grâce à Jonathan, de la boîte d’intérim, j’avais intégré cette société. J’étais bien contente de toucher ce petit salaire tous les mois et les primes de fin de mission, pour un boulot qui n’était pas spécialement difficile.
    
    Depuis la première fois dans la ruelle, je continuais à le voir, une fois par semaine en moyenne, pour une bonne partie de baise qui, si elle restait souvent assez traditionnelle (pipe, cunnilingus, baise, un peu d’anal...) ; avait la particularité de se dérouler dans 90 % des cas, en extérieur, dans des lieux publics plus ou moins bien cachés.
    
    Nous n’avions été surpris qu’une seule fois par un monsieur d’un certain âge qui promenait son chien. John m’avait mise entièrement nue, dans un bosquet d’un parc public. Le temps était gris, il n’y avait pas grand monde dehors alors j’avais accepté, d’autant que j’avais choisi l’endroit. Lui était resté habillé et sortait juste son membre et ses boules. J’étais en train de me faire prendre en levrette après l’avoir pompé, quand j’aperçus ce monsieur du coin de l’œil. Pas de doute que John l’avait vu venir, mais ça lui plaisait de m’exhiber, il avait la sensation de me posséder, de faire envie aux autres, et ça me plaisait d’être l’objet du désir. Le papy s’était excusé de nous avoir dérangés, comme s’il n’avait pas fait exprès de venir plus près en entendant mes gémissements.
    
    Il s’était approché pour nous parler, juste un peu, et nous lui avions souri, puis nous avons continué ...
    ... à baiser avec ce vieux cochon qui nous regardait et ne semblait pas vouloir s’en aller. Il a bien profité du spectacle, jusqu’au bout, et m’a chaleureusement remerciée. Après tout, j’avais bientôt 27 ans, mince avec un beau cul rond, peu de seins c’est vrai, mais j’étais quand même à poil avec une bite dans la chatte. Quoi de plus beau à offrir comme spectacle à un homme d’âge mûr qui ne bandait peut être plus ?
    
    Même son chien avait semblé excité par la situation, ce qui m’avait fait rougir, l’imaginant venir laper le sperme qui coulait de ma chatte et le long de mes cuisses.
    
    Vraiment, on s’est bien amusé avec John...
    
    J’avais donc enchaîné trois missions de deux mois et une mission de six mois en accord avec mon supérieur Monsieur Schmid qui, bien évidemment, ne me les avait pas offertes gratuitement.
    
    Il m’a fallu le rencontrer seul ou avec un ou deux de ses amis à chaque nouvelle mission, pour pouvoir garder ce boulot.
    
    Lui ne me faisait pas tellement d’effet en dehors de son côté pervers, à m’obliger à le sucer au travail et à offrir mon cul à ses potes pour garder le job. Une vraie pute en fait... et ce rôle avait tendance à m’exciter au lieu de me torturer.
    
    A dire vrai, j’avais pris un réel plaisir à rencontrer ses amis. De bien meilleurs baiseurs que lui, à me prendre par tous les trous, à plusieurs reprises jusqu’au petit matin ; c’était orgasme après orgasme, orgie de sperme et de salive jusqu’ à épuisement. Que du bonheur, je ne m’étais jamais autant ...
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