les vacances érotiques de Solange 02
Datte: 11/05/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byHouna, Source: Literotica
... poignets. L'ordre tomba aussitôt d'un ton sans appel : « Retires les cagoules, mets ta robe noire ras la chatte et remplaces tes bas à résilles pas des bas noirs opaques soumise. » Mes bras complètement engourdis ne me permirent pas de m'exécuter avec la célérité souhaitée par Monsieur Paul. Quelques coups de chaussette remplie de sable bien appuyés et une remarque du type : « Tu traînes toujours autant morue. » m'aidèrent grandement à mettre une tenue plus décente afin que nous puissions nous rendre au supermarché de ma commune.
Il poursuivit : « Aboules tes cinquante euros plus vite que cela soumise! » Je gagnai en courant le garage, pris les cinquante euros, deux coupures de vingt et une de dix, d'argent de poche pour le week-end qui étaient dans mon sac à main et revins les donner sans tarder, toujours en courant à Monsieur Paul, en effet je voyais celui-ci pressé d'être en mesure de me faire prendre un repas. Quel gentleman ce Monsieur Paul, toujours très attentionné envers les soumises. Nous gagnâmes tous deux le garage, il me fit remarquer que j'étais maintenant une grande fille et que je pourrais de ce fait voyager à côté de lui à l'avant du véhicule. Je dois préciser que le véhicule de Madame Irma disposait de vitres traitées de telle sorte que de l'extérieur du véhicule nul ne pouvait nous voir. Je ne savais pas pourquoi, mais j'avais le sentiment que cela ne présageait rien de bon.
Une fois assise dans le véhicule, je mis en place ma ceinture de sécurité. ...
... Monsieur Paul me fixa sans tarder les menottes aux poignets, poignets que j'avais spontanément positionnés derrière mes reins, reins extrêmement douloureux suite à la raclée au battoir en cuir reçue en début de matinée. Il me disposa le plus naturellement du monde les deux cagoules sur le visage. Il faut dire que je commençais à maîtriser depuis ce matin le port de ces deux articles vestimentaires. Si j'avais eu le droit de fréquenter un salon de coiffure, ma mise en plis aurait pris un sacré coup de vieux depuis ce matin! Mais heureusement pour moi mes cheveux et mes poils appartenaient à Madame la Directrice et il m'était formellement interdit de fréquenter ces lieux de perditions.
En faisant abstraction du port simultané des menottes, du collier et des deux cagoules, le trajet vers le supermarché de ma commune fut tout à fait normal, du moins pendant sa première partie. À un certain moment, Monsieur Paul commençant à se lasser de conduire eut l'idée de se distraire à chaque feu rouge. Il m'informa alors : « Dès que le véhicule n'avance plus morue, tu dois me dire en boucle et sans t'arrêter 'Oh oui mon chéri, continue, tu vas me faire jouir.' Je ne veux rien entendre d'autre et surtout pas une seconde de silence! Si tu ne respectes pas mes consignes, dès notre retour, je te caresserai la plante des pieds avec une solide baguette en noisetier. » Suite à l'audition de ces consignes et constatant que le véhicule était immobile, je me mis immédiatement à réciter ces douces ...