1. Abusée Ch. 08


    Datte: 10/05/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... fort.
    
    - Tu m'as appelée. Dis-je avec une voix monocorde en espérant qu'il ne se rende pas compte de mon excitation.
    
    - Ma putain m'a manqué, il fallait que je te voie. Dit-il dans un murmure rauque.
    
    Je regardai les yeux de chiots de Glen. Bon sang, c'était un jeune salaud! Je me détestai d'être tellement attirée par lui.
    
    - Que veux-tu que ça me fasse? Demandai-je en haussant les épaules et en montrant de l'audace.
    
    Je savais très bien où cela allait nous mener. Au sexe, sans tendresse, comme deux chiens qui s'accouplent brutalement.
    
    Glen écrasa sa cigarette et se leva brusquement. Ses yeux me détaillèrent. On aurait dit qu'il voulait brûler mes vêtements du regard et me laisser ici assise, nue et vulnérable. Il attrapa mon bras :
    
    - Lève-toi! dit-il d'un ton sec, comme si j'étais son chien.
    
    Je m'exécutai en m'assurant de bien écarter les jambes pour qu'il puisse voir ma culotte quand je glissai hors de l'alcôve. Les yeux du jeune garçon étaient vitreux. Je sentis que j'avais un peu de contrôle sur lui pour la première fois dans notre relation.
    
    Il me poussa vers l'arrière du bar où il y avait un couloir qui menait aux toilettes.
    
    Il ouvrit la porte marquée « Homme » et me poussa. Je ne pense pas avoir déjà été dans des WC pour hommes. Il y avait trois urinoirs. L'endroit puait la bière et l'urine. Je me demandai combien de fois les hommes avaient manqué l'urinoir et pissé sur le sol.
    
    Le plancher était recouvert d'un vinyle rouge des années 1960 et ...
    ... il était inégal. Ces toilettes étaient sales. Je pouvais entendre les gouttes du robinet et il y avait des tâches de rouille sur le vieux lavabo en porcelaine.
    
    Glen mit ses mains sur mes épaules et me regarda dans les yeux :
    
    - Baisse-toi et suce-moi!
    
    Bien que je sois une enseignante et une femme respectée, que je sois dans les toilettes pour hommes où quelqu'un pouvait entrer et me reconnaître, peut-être même le père d'un de mes élèves, j'obéis.
    
    Je m'accroupis, jambes écartées, ma robe d'été retroussée et mes pieds tournés vers l'extérieur. Je décompressai le pantalon de Glen et je me battis pour extraire sa bite maintenant bien dure de son jean serré et de son caleçon.
    
    Ainsi je n'avais que la vision de son entrejambe et de sa queue. J'étais fascinée. Je commençai à caresser amoureusement le membre avec mes mains, puis je me mis à lécher et sucer son gros gland. Je le faisais comme si c'était la chose la plus naturelle pour moi. J'eus l'impression que je n'existais que pour me faire sauter par des jeunes gars dans des toilettes immondes pour hommes.
    
    Ma culotte devint tellement humide que je pus sentir la fraîcheur sur ma chatte. J'aurais pu jurer que l'on pouvait sentit mon excitation au milieu des odeurs nauséabondes de la pièce. Je pouvais entendre les « slurp » que faisait ma bouche sur la bite de Glen. Je m'appliquai dans ma fellation. En même temps, avec ma main libre, celle qui porte mon alliance, je frottai ma chatte humide à travers le fin tissu de ...