Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : le train
Datte: 10/05/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Olga T, Source: Hds
... ainsi, faisant connaissance, près d’une heure.
J’étais séduite par la conversation et l’esprit de ce jeune homme, comme j’avais flashé sur son physique. De son côté, il savait ce qu’il voulait et prenait son temps. C’était manifestement un séducteur, qui ne perdait pas de vue son objectif. Il m’a dit par la suite que, dès qu’il m’avait vue, il avait eu envie de moi.
• Ca ne me regarde pas, Olga, mais votre mari n’a pas peur de vous laisser voyager ainsi, seule ? Il n’est pas jaloux des rencontres que vous pouvez faire ?
J’ai aussitôt regretté ma réponse, qui ne pouvait que l’encourager :
• Philippe, jaloux ? Pas du tout, je suis libre et je ne cache rien à mon mari !
Kévin a souri, sentant que son instinct ne l’avait pas trompé et que j’étais mure.
REVE ET MASTURBATION
L’arrivée du contrôleur m’a provisoirement sauvé. Mais Kévin a ajouté :
• Il sait qu’il n’y pas d’autres réservations dans ce compartiment. Nous sommes donc tranquilles !
• Si ça ne vous dérange pas, je voudrais dormir un peu. J’ai mal dormi la nuit dernière. Ce voyage, que je savais long. Et surtout, laisser les enfants même une semaine, même si je sais qu’ils sont entre de bonnes mains, ça me rend nerveuse.
Je me cale dans mon coin, cherchant la position la plus confortable pour dormir. Je prends mon imperméable pour me couvrir les jambes.
Dans ce genre d’endroits, j’ai toujours eu des problèmes pour trouver comment m’installer. J’essaie de me mettre droite contre le ...
... dossier, je tente de replier mes jambes sous moi, mais c’est la tête qui ne trouve pas le bon appui. Je me tourne et me retourne vainement.
Je commence à désespérer de trouver la bonne position quand Kévin se lève et vient s’installer à côté de moi :
• Vous n’arrivez pas à dormir, venez-vous appuyer sur mon épaule.
Avant que je n’ai le temps de répondre, le jeune homme relève l’accoudoir qui nous sépare, me prend par les épaules et m’attire contre lui.
Dégageant son bras gauche, il me repose au creux de son épaule.
Je pose ma tête, c’est très confortable. Je le remercie et me détend. J’allonge mes jambes sur la banquette face à moi, en me couvrant avec mon imperméable.
Kévin semble s’endormir avant moi. Je suis contre lui, on pourrait nous prendre pour un couple, alors qu’on ne se connaissait pas deux heures auparavant. Il n’est pas mon mari. Il n’est pas mon amant. Pas encore, en tout cas !
Mes vêtements me serrent un peu dans cette position presque couchée. Je commence à ouvrir un bouton de mon chemisier. Imperceptiblement, pour ne pas gêner mon voisin, je glisse une main vers ma hanche, cherche l’attache, défais le crochet et je fais glisser la fermeture.
Dans le mouvement, la main de Kévin se pose sur ma hanche. Je n’ose pas l’enlever, de peur de le réveiller. Ses doigts chauds sur ma peau me troublent. Ils ne bougent pas, j’apprécie ce contact.
Je m’endors moi aussi, je me sens si bien. Ma respiration se fait plus profonde, ma poitrine se soulève et ...