1. VILLA PARADIS


    Datte: 28/02/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Hardcore, Mature, Auteur: Jeannot94, Source: xHamster

    ... aucune bretelles de soutien gorge.
    
    J’ai honte de penser plaisir, alors qu’elle souffre. Il faut que je lui parle.
    
    « Vous avez fait ce qu’il fallait. Vous n’avez rien à vous reprocher. Quand à ce petit con, il ne vous a pas fais redevenir belle, jeune et désirable, car vous l’avez toujours été et vous l’êtes encore. Tant pis pour votre mari s’il est assez aveugle pour ne plus vous voir et ne plus vous désirer… »
    
    Je perds le contrôle. Je passe ma main sous son tee-shirt et je caresse son dos à même la peau, tandis que mon autre main glisse dans ses cheveux, sur sa nuque et sur son crane. Je me colle fort à elle, avançant mon bassin pour coller mon membre contre et entre ses cuisses.
    
    « …Moi, je vous vois ! Moi, je vous désire ! Moi, je vous veux ! Hoo ! Christinaaa ! »
    
    Je tire un peu ses cheveux pour qu’elle lève la tête et sans attendre une réaction de sa part, je l’embrasse avec fougue.
    
    Je la sens tout d’abord tendue, voir même rébarbative à mon baiser, mais très vite son corps se détend et ses mains glissent sur ma nuque.
    
    Tout en m’embrassant, sans s’écarter une seconde de mes lèvres, elle me parle.
    
    « Non, Gabriel ! Humm ! Nous allons faire une folie ! Mmmmmm ! Il ne faut pas ! Haa ! Embrassez-moi encore ! Mouiiii ! »
    
    Je la fait reculer jusqu’à la petite table de marbre sans lâcher mon baiser. Lorsque ses fesses touchent la pierre, je libère sa lourde poitrine en soulevant son tee-shirt. D’instinct, elle se cambre et se penche en arrière en se ...
    ... maintenant de ses mains.
    
    Ses seins appellent ma bouche. Je les prends à pleine mains et les malaxe avec amour. Les tétons dressés, roulent entre mes lèvres et sont agacés par la pointe de ma langue.
    
    Lorsque je fais glisser mes baisers jusqu’à son ventre, je dénoue son paréo qui tombe au sol et je caresse ses cuisses. Elles sont fermes, chaudes.
    
    Mon visage est enfin face à son entre-jambe. D’un doigt, j’écarte son string. Une touffe brune, lisse et soyeuse cache sa grotte. Les grandes lèvres, un peu détendues, ont bien du mal à cacher un beau clito volumineux ainsi que la cyprine qui l’inonde déjà.
    
    Je fais glisser deux doigts dans la fente.
    
    Je la pénètre sans problème. Sa mouille est grasse et abondante. Son clito appel mes lèvres. Je m’avance et aspire le bouton rose. Je suis surpris par l’odeur plus forte, par le goût plus agressif que ceux des jeunes femmes que j’ai aimé jusqu’ici, mais je me sens enivré de la même façon.
    
    Ma langue remplace mes doigts et je m’applique à faire jouir cette femme mûre du mieux que je le peux.
    
    « Ho ! Gabriel ! Vous me rendez folle ! Ouiiii ! Prenez-moi ! Je vous en supplie, prenez-moi ! Hummm ! »
    
    Je me redresse et fait tomber mon short pour libérer mon dard qui vient se placer directement entre les cuisses de la belle dame.
    
    Elle se couche sur la table et monte haut ses jambes. J’att**** ses chevilles et je la pénètre lentement. Elle pousse une longue plainte de plaisir.
    
    Ses yeux sont fermés et ses mains crispées ...
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