VILLA PARADIS
Datte: 28/02/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Hardcore,
Mature,
Auteur: Jeannot94, Source: xHamster
... entre avec raffinement dans sa voiture et elle…
Je suis sorti de ma rêverie par la voix de Vanessa qui est apparue derrière moi.
« Avouez ! Elle vous plait ! Hein ? »
« Quoi ? Comment osez-vous parler de votre mère comme… »
Je me retourne, très en colère.
Elle est appuyée contre le mur, les mains dans le dos. Non contente d’être toujours seins nus, elle a également ôté le bas de son maillot de bain. Elle est devant moi dans le plus simple appareil et n’en semble nullement gênée.
« À quoi jouez-vous !? »
« Certes, nous ne sommes pas à la plage. Ne soyez pas outré, hihihi. »
Je ne peux m’empêcher de la regarder et de la détailler. Elle est superbement bien faite. Ca ne fait aucun doute. Ventre plat, légers abdominaux, jambes musclées que j’avais déjà remarqué à son arrivée.
Son sexe est bien fermé, comme un petit abricot et tout aussi lisse. Seul un petit trait soigneusement taillé, agrémente le haut de sa fente.
« Et puis à en juger par la bosse dans votre short, je ne vous laisse pas indifférente, non ? Je me trompe ? »
Elle s’approche de moi, très près. Elle s’arrête à quelques millimètres. Je peux sentir sa respiration sur mon visage. Elle plaque ses deux mains sur le devant de mes cuisses, presque à toucher mon sexe. Celui-ci gonfle encore, à m’en faire mal.
« Croyez-vous ? Comment appelez-vous une mère qui se tape le petit ami de sa fille ? Une garce ! Non ? »
Je ne sais ni quoi faire, ni quoi dire. Putain ! Cette môme arrive à me ...
... tétaniser.
Elle monte ses mains jusqu’à mon ventre et les redescend doucement dans mon short.
Je ne porte pas de slip, ni de caleçon. Ses doigts frôlent mon sexe.
Elle approche sa bouche de la mienne. Nos lèvres se frôlent.
Excité, mais très perturbé, je n’ose toujours pas bouger.
Elle mordille ma lèvre inférieure, puis descend me donner un baiser dans le cou.
Elle laisse doucement son corps s’affaisser vers le sol et ses mains entrainent mon short, libérant mon membre déjà prêt à exploser devant tant de beauté et de douceur.
Elle tombe à genoux.
Sa langue glisse lentement de mon nombril à mes testicules, contournant soigneusement le sexe dressé. Elle les lèche, les gobe avec délicatesse, faisant monter la pression et la sève. Je caresse ses cheveux d’une douceur incomparable. Je suis aux anges.
Mais soudain elle se lève et part en courant dans les escaliers en riant et en criant.
« Alors ? C’est qui la garce ? La mère ou la fille ? Hihihi ! »
Si la mère est une garce, la fille est une belle petite salope de me planter là, la bite tendu, short aux pieds, au milieu de l’entrée.
Je me jure de lui faire payer cette humiliation.
Le soir, le diner se fait dans le calme, outre bien sur une ultime provocation de Vanessa à sa mère. Elle n’a rien trouvé de mieux que de descendre manger en col roulé. Nous en avons bien ri car finalement, c’est elle qui a chaud.
Ma nuit fut agitée. Impossible de trouver le sommeil. Toutes mes pensées étaient ...