1. Une nuit à l'hôtel


    Datte: 10/05/2019, Catégories: fh, couple, hotel, voyage, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, tutu, Auteur: Bichon, Source: Revebebe

    ... complice.
    
    Dans la voiture nous avons reparlé de ce moment jouissif, ma main s’est glissée sous ta robe courte repliée au niveau de ton minou, j’ai pu constater combien tu étais mouillée de t’être ainsi dévergondée. De retour à l’hôtel, je t’ai embrassé sauvagement, fier de cette nouvelle expérience. C’est à ce moment que j’ai repensé à notre mateur, j’ai ouvert la fenêtre en prétextant la chaleur. Je t’ai saisie dans mes bras, dos à la fenêtre, ma main a commencé à vagabonder sous ta robe, remontant celle-ci pour dévoiler tes fesses fugitivement tout en t’embrassant, mon regard sur ton épaule cherchait notre homme. De ton côté, tu me déshabillais lentement, faisant glisser mes vêtements du bout des doigts, tout en embrassant mon torse. Tu t’es penchée pour ôter mon short lorsque la lumière s’est allumée dans la chambre d’en face.
    
    L’homme, la trentaine, s’installa à la fenêtre pour fumer une cigarette et de suite son regard se porta sur notre chambre. Il croisa mon regard et comprit qu’il pourrait observer librement ton anatomie lorsque je te mis dans son champ de vision, dos à la fenêtre. Il s’absenta pour éteindre la lumière de sa chambre, jeta sa cigarette et revint se placer à distance de la fenêtre pour ne pas que tu le remarques. Mes mains dévoilèrent tes fesses, faisant glisser ta robe sur ton dos, ta position lui renvoyait l’image de ton petit postérieur bombé et de tes cuisses bronzées, tandis que de ton côté tu avais saisi ma queue entre tes doigts. Debout ...
    ... face à la fenêtre, me positionnant derrière toi, j’ai passé lentement ta robe sur tes épaules, de manière à offrir la vue de ton corps excité à notre voyeur. Tes seins pointaient, ta chatte brune ruisselait mais notre homme savait être discret et tu te laissais caresser ainsi exposée à ton insu. Je tiraillais tes petites pointes, cambrant ton ventre en arrière pour mieux t’offrir.
    
    Ma main glissa à l’intérieur de ta fente humide, mon doigt joua avec ton clitoris. Tu étais impudique au possible, j’étais fier d’avoir une si belle compagne et de t’exhiber ainsi. J’ai passé ma main gauche entre tes cuisses légèrement écartées, l’autre soulevait ta poitrine, ma bouche se promenait sur ton cou, mordillant ton oreille. Je jouais avec ton corps comme on fait vibrer une corde de guitare. Un long moment je t’ai caressé ainsi exposée, nue face à l’autre opposé de l’hôtel, puis tu as réalisé que l’on pouvait nous voir et tu as voulu fermer la fenêtre. Je ne t’en ai pas laissé le temps et je t’ai attirée vers le lit. Je me suis allongé, t’entraînant sur moi à genoux, de manière à offrir ton postérieur vers la fenêtre. J’étais certain que notre mateur se branlait en t’observant, qu’il apercevait ma bite entre tes cuisses, ton buisson sombre, tes fesses que j’écartais en les malaxant. Tu frottais ton corps contre le mien, essayant d’enfiler mon sexe à l’intérieur de ta chatte dégoulinante de liqueur si familière.
    
    J’ai voulu lui offrir ton profil, je t’ai demandé de te mettre debout sur le ...