1. L'autre sexe au naturel. (1)


    Datte: 10/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: tomy83, Source: Xstory

    Nous fêtons aujourd’hui nos anniversaires, ma sœur et moi. Les parents, que nous adorons, nous ont préparé une petite fête en tout petit comité, c’est-à-dire que tous les quatre.
    
    Ma sœur et moi sommes de vrais jumeaux monozygotes. On est blondes toutes les deux, de grands yeux verts et tout ce qu’il faut là où il faut. Mais Dame Nature a décidé que si l’une devait avoir un sexe féminin, l’autre recevrait une paire de couilles et un pénis hors norme. Eh oui, je suis une véritable Sissy. Je n’ai pas à envier la poitrine de ma sœur : on a exactement la même. On est exactement identiques, mis à part cette bite monstrueuse que j’ai peine à dissimuler.
    
    L’obstétricien qui nous a mises au monde avait déjà entendu parler de ce type de malformation mais il était étonné de voir deux petites filles aussi ressemblantes. Mes parents, à notre naissance, n’ont pas eu d’autre choix que d’accepter la fatalité d’avoir une... transsexuelle à la maison. Bien que je n’aime pas ce mot, il fallait que je l’accepte. Je n’étais pas une trans mais une fille avec un zizi. Une bistouquette, comme l’aimait à dire mon papa adoré.
    
    Ma mère a décidé de m’élever comme ma sœur. Pas de différence physique, pas de différence sur notre éducation, avait-elle décrété. Nous avons suivi le même cursus scolaire, les mêmes cours de fitness, les mêmes flirts. Mais je n’osais pas me montrer nue devant un garçon, surtout quand il devenait trop entreprenant. Je fuyais. C’est déjà dur de se montrer dans son plus ...
    ... simple appareil, alors avec une queue immense, pensez donc. Je m’étais reconvertie dans les fellations, ce qui m’allait bien. Un peu laborieuse au début, je peux dire que je suis passée experte en la matière. J’ai même initié ma sœurette sur mon membre. Elle n’aime pas avaler, tout le contraire de moi.
    
    Mais à 18 ans, il y a belle lurette que ma sœur avait perdu sa virginité. C’était avec un copain de collège. Et moi toujours vierge de mon séant.
    
    Pour nos 18 ans, nos parents ont mis les petits plats dans les grands. Nous avons fait un effort vestimentaire pour honorer ce repas. On mange, pas plus que de raison, nous faisons attention à notre ligne. De vrai femmes, quoi.
    
    Après le gâteau, nos parents s’en vont deux jours chez la mère de maman, notre grand-mère. Une vieille dame acariâtre à qui je ne parle plus. Elle m’a vue une fois nue.
    
    — Tu es l’enfant du diable...
    
    — Et c’est toi le diable.
    
    Vous comprendrez aisément que cela a jeté un froid dans nos relations. Mon père y va par nécessité, ma mère n’ayant pas le permis.
    
    Ils partent après le café. Ils s’en vont, non sans avoir reçu les dernières consignes maternelles. Mon père monte dans sa voiture en rigolant et en nous faisant un clin d’œil.
    
    Une fois seules dans la demeure, on court dans la salle de bain et on prend nos serviettes de bain. On se fout à poil et on se dirige vers notre grande piscine. Mon gentil papa l’a construite pour que je puisse me baigner en toute tranquillité. Ah, oui, nous sommes ...
«1234...»