Amour bestial
Datte: 09/05/2019,
Catégories:
fh,
couple,
vacances,
hdomine,
contrainte,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
Auteur: La gourmande de Marquis, Source: Revebebe
Il fait beau, même trop beau pour un week-end de Pâques…
Laurent et Julie roulent sur l’autoroute en direction de la France. Ils viennent de passer quelques jours sous le soleil espagnol, entre Figueras et Cadaqués. Ils ne sont pas pressés, ils ont toute la journée pour rentrer. Laurent décide de sortir de la voie rapide afin de passer par les petites routes longeant la côte, les paysages y sont bien plus pittoresques et il faut profiter de ces quelques jours de vacances !
Le ciel est bleu, le soleil brille, le temps est même lourd, les deux tourtereaux roulent les vitres largement ouvertes, musique classique à fond… Vers 13 heures, ils s’arrêtent pour pique-niquer. Laurent trouve un coin de campagne tranquille, isolé. Ils s’installent à l’ombre d’un grand arbre, grignotent quelques sandwichs. Puis une tasse de café tiède, le thermos n’est pas efficace très longtemps !
Laurent s’allonge en savourant la bonne cigarette qui clôture le repas, Julie s’installe près de lui, la tête sur son ventre. Ils regardent les nuages qui commencent à s’accumuler dans le ciel. Julie embrasse le ventre de son compagnon tendrement, en faisant courir ses lèvres du nombril jusqu’au cou. Elle donne de temps en temps de rapides coups de langue, puis reprend un rythme plus doux. Laurent savoure ces caresses, il est bien, détendu. Les lèvres de Julie continuent leur valse, sa main caresse le sexe de son ami à travers le pantalon. La queue se gonfle lentement sous le tissu. Elle sait le bien ...
... qu’elle procure à son homme, il aime quand elle s’occupe de lui. Lentement, elle défait les boutons du pantalon et glisse sa main à l’intérieur du caleçon. Elle sent la chaleur du membre en érection.
Le ciel continue à s’assombrir, l’atmosphère devient électrique.
— Il faudrait reprendre la route, Laurent, il va pleuvoir.
— Caresse-moi encore un peu…
Julie s’exécute, elle ne sait pas lui dire non. Laurent profite des baisers de Julie au maximum, son sexe est tendu, il sent l’excitation qui monte… puis une goutte, deux… trois… Il commence à pleuvoir ! Julie se lève précipitamment.
— Tu vois, je te l’avais bien dit ! Vite ! Ramassons nos affaires, c’est un sacré orage qui se prépare !
En effet, le ciel est devenu très noir et des éclairs déchirent les nuages. Suivent ensuite d’assourdissants coups de tonnerre. Les jeunes gens se lèvent, fourrent les restes du repas dans le grand panier, et courent jusqu’à la voiture qui est garée un peu loin.
Mais l’averse éclate avant qu’ils n’atteignent leur but. Quand ils rangent enfin les affaires dans le coffre, il est trop tard, ils sont trempés. Laurent halète, essoufflé par sa course. Il voit Julie, ses cheveux longs sont décoiffés et la pluie a rabattu de longues mèches sur son visage et dans sa nuque. Et surtout, son t-shirt blanc est devenu transparent, merci la pluie ! Il la trouve belle, désirable, bandante. Il voit son soutien-gorge blanc et le rose de sa peau où le t-shirt se colle. Il attrape Julie par le bras ...