De retour du concert
Datte: 08/05/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
Oral
pénétratio,
totalsexe,
Auteur: Pablo, Source: Revebebe
... Gabriel n’y tint plus et son visage, sa bouche, plongèrent soudain dans l’entrecuisse pour y attraper tout ce qui se trouvait à portée de bouche, à portée de lèvres, à portée de langue, à portée de dents. Il attrapa sa partenaire fermement par les hanches et tel un prédateur, un carnassier, un grand félin, il la dévora. Alice sentit comme un électrochoc au plus profond de son ventre, emporté par cette fougue totalement incontrôlable et incontrôlée. Ce ne fut plus qu’une succession de cris, de soupirs, de gémissements, parfois limpides, parfois totalement inhumains, qui traduisaient l’état d’excitation dans lequel elle se trouvait. Elle n’aurait su dire lequel des deux s’était chargé de déchirer la dentelle, toujours était-il qu’il n’y avait plus aucun obstacle entre leurs deux corps fiévreux maintenant. Gabriel, de son côté, avait le souffle court, et tout romantisme et délicatesse oubliés, s’abreuvait à cette fontaine d’amour intarissable, se nourrissait de ces chairs intimes à la saveur à nulle autre pareille, cherchant en même temps à la dévorer toute entière et à disparaître à jamais à l’intérieur de l’obscur secret de son ventre. Il savourait par tous ses sens en éveil, avec le contact de son visage sur la peau, au son de ses cris de volupté, avec le parfum d’amour de sa grotte de plaisir, la saveur de son intimité sous sa langue, et à la vue de cette fille, abandonnée, offerte, indécente et pleine de charme. Pleine de charme car indécente, indécente car pleine de ...
... charme, qu’importe…
La caresse se calmait, mais sans la délivrer pour autant, car ce qu’elle perdait en fougue animale, elle le gagnait en précision. Alice sentit la déferlante qui refluait, mais la langue douce, délicate et légère qui la remplaça n’avait rien à lui envier. Tandis qu’elle se promenait sur ses zones les plus sensibles, elle sentit les mains de Gabriel qui relâchaient ses hanches et partaient effleurer son corps, s’attardant sur les zones qu’il savait maintenant, par expérience, les plus réceptives. Il finit son parcours sur ses seins, sur ces tétons qui pointaient toujours aussi fièrement, toujours aussi avides de caresses expertes. Et Alice prit l’initiative de saisir les mains de son homme, pour en glisser les doigts dans sa bouche, l’un après l’autre, avant de les laisser continuer leur caresse antérieure, bien plus douce et délicieuse maintenant…
Ce fut sans doute là son erreur, c’était plus que ce que son corps pouvait supporter. Elle avait déjà bien du mal à contrôler le plaisir entre ses cuisses, et se trouvait sur le fil du rasoir lorsque Gabriel commença à s’occuper de ses seins. Mais là c’était trop. Elle sentit venir la déferlante du fond de son ventre, et sut tout de suite que cette fois-ci elle ne pourrait la maîtriser. Telle une condamnée, elle se résigna donc à accepter la sentence et à subir son châtiment, le plus doux et le plus délicieux qui soit. Gabriel le sentit venir lui aussi : sa respiration, son déhanchement, la perte de contrôle ...