1. Police polissonne (9)


    Datte: 08/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... s’empressent de poser leur verre enfin de toucher cette poupée, si coquine et imprévisible. Habituellement la fille aurait été directement prise d’assaut, presque violée, mais là, ils se sentent obligés d’aller doucement. Sans doute envoûtés par ce qu’elle dégage de magnétisme et d’étrange ; comme si elle était habitée par un être étrange. Du bout des doigts il lui touche le ventre, les seins. Certains glissent et passent par l’échancrure de la jupe, tandis que d’autres caressent ses seins, ses bras, et ses cuisses avec une douceur si sensuelle. Puis ils continuent à descendre, palpent ses fesses, et arrivent rapidement vers la fermeture éclair de la jupe en simili cuir noir brillant, un « Zip » et la jupe s’ouvre. À quatre mains, le vêtement descend, mais trop vite au goût de Sonia ; mais elle ne dit rien. Elle se laisse faire, les yeux clos elle savoure sa mise à nue ; la ceinture de son string apparaît, ses fesses se dévoilent. La jupe termine sa course au sol et quatre mains entourent son bassin, deux lui palpent les fesses et les deux autres glissent le long de la ceinture du string et le descendent au sol. Voilà déjà plus de deux heures qu’ils attendent de pouvoir toucher cet endroit. Lui caresser la chatte, lui sucer le clito et enfoncer leur bitte dans son vagin ; ils sont au bord de la rupture. Cet effeuillage fait monter le désir en elle, sa vulve suinte de bonheur, elle se masse les seins :
    
    « Il faut qu’ils continuent, qu’ils la mettent toute nue, qu’ils la ...
    ... portent sur le lit pour l’aimer »pense-t-elle.
    
    Perdue dans ces pensées et envahie par le désir, elle ne sent pas son string disparaître, ni ces doigts qui lui caressent la vulve qui devient de plus en plus humide ; ni encore son clito vibrer de bonheur. À quatre mains, ils la renversent, la portent, et l’allongent sur le lit, puis ils la caressent, lui sucent les deux seins en même temps, jouent avec son clito, lui enfoncent un puis deux doigts dans la chatte et deux dans le cul aussi. Tout son corps tremble, son esprit vacille, l’envie de se faire prendre l’envahit trop vite, alors à demi-inconscience elle implore :
    
    — Prenez-moi !... Prenez-moi !... Prenez-moi tous les deux, maintenant !
    
    Trop contents de cette supplication, les deux hommes entrent en action. Jeff s’allonge sur le dos, Sonia sur son ventre et s’enfonce sur le sexe tendu ; elle glousse et gémit déjà. Quand Jean lui enfile sa queue dans son trou du cul, elle crie enGloubi-boulgatout un tas de mots incompréhensibles. Ses entrailles crient des « Encore, et encore ! » et très vite, l’orgasme déboule comme un boulet de canon. Il la frappe au plus profond de son intimité, sa puissance la secoue comme une poupée de chiffon, l’orgasme est court, violent. Elle grogne à chaque coup de boutoir de Jean et elle feule au moment de l’orgasme qui la laisse inerte sur Jeff. Foudroyée par cet éclair de bonheur ; elle est comblée. Les hommes, les couilles pleines et pas encore satisfaits, la laissent sur le lit, le nez dans ...
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