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COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Saison II (9/10)
Datte: 28/02/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... passé la nuit dans son fournil. - J’espère que tu en as profité pour niquer Adeline ? - Laurette dernière avertissement avant que je te vire à coups de pied dans ton arrière-train même si la fessée reçue te fait encore mal. Tu es jalouse car aucun garçon ne vient t’offrir des fleurs. - Pour me mettre un coup de pied au cul il faudrait que tu me rattrapes et que tu vois où il est. Laurette est la seule fille à qui je tolère de ce foutre de mon handicap car depuis que je suis dans cet état c’est elle qui est mes yeux et qu’elle est naturellement naturelle. - C’est bon, prends les fleurs de ce garçon et va les mettre dans un vase dans la salle à manger. - À vos ordres patron. Je l’entends prendre les fleurs et cinq minutes après j’ai rejoint ma chambre où je me suis douchée car la chaleur m’y incite. Surtout n’oublions pas que depuis cette nuit le sperme de mon inconnu est encore sur mes jambes. Est-il possible que malgré son air benêt, c’est du moins le sentiment que Louis m’inspire, ce garçon ait eu l’idée de monter à un échafaudage pour venir me fesser ? Je descends les marches et il me fait monter dans sa voiture. Avec ma main, je fais attention que ma tête entre sans me cogner. - Vous pouvez monter sans problème c’est une décapotable. J’ai profité du beau temps pour l’ouvrir. J’aime le vent quand je roule par ces chaleurs. Il m’installe et nous partons. Les sièges sont tellement profonds que je me demande si mon string ...
... est bien caché sous la jupette que j’ai mise avec un chemisier blanc acheté avec Laurette au moment des soldes de juillet. J’ai beau avoir un joli domaine, il faut faire attention car les frais d’entretien sont énormes et le beau temps qui persiste pourrait déboucher sur une année de merde à cause de la grêle qui peut tout ravager en cinq minutes sur son passage. Le nombre de mes employés serait au chômage technique si ça arrivait. J’ai un copain François qui a un domaine principalement de blanc et de rouge de Mercurey. Il a la moitié de la surface du mien et chaque été quand il part une semaine en vacances il nous téléphone trois fois par jour. Il nous demande si avec la chaleur les cumulus ou autres cumulonimbus sont inexistants ou bien commencent à blanchir. Il partira la semaine prochaine. Roulé dans une décapotable est sympa surtout que mes cheveux courts volent dans tous les sens. - Tu as de jolies jambes. - Pardon ? - Je disais que tu as de jolies jambes. - Merci, les tiennes son bien aussi. - Je suis en jean. - Merci du renseignement. Nous éclatons de rire car avec le bruit du vent nous sommes obligés de hurler. Et tout cela s’arrête quand il gare sa voiture. Il descend et quelques secondes après en ayant fait de même, montrant certainement ma petite culotte, j’attends qu’il vienne me guider. - Louis où es-tu ? Quelques secondes. - Eh Oh ! Louis. - Excuse-moi Véronique, j’avais oublié, je croyais que tu me ...