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Un chien qui s'ignore 15
Datte: 07/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Auteur: perver38, Source: xHamster
... pénétrait encore plus loin. Ma petite bite tressauta brièvement contre sa grille pendant qu’un flot régulier semblait couler de sa cage.. ‘Continue comme ça, ça lui plait à cette pute’. L’homme, imperturbable dans son seul plaisir, continua à me ramoner en me traitant de pute à bites. Hébété, je perdis finalement le cours du temps présent. L’homme finit par me traiter de tous les noms et expulsa son flot de sperme en se reculant dans ma bouche, son sexe grossissant encore. Le sperme sortit en bullant de ma bouche et mon nez. Un goût acre me remplit tout entier. Son collègue prit rapidement la suite, plongeant dans ma bouche remplie de sperme. J’en étais inconsciemment à comparer ses dimensions, le gout de sa bite, la forme de son gland, pendant qu’il me ramonait. Puis vint un autre. Cela faisait des heures que ma bouche servait de réceptacle à plaisir. Chacun avait son style mais tous prenaient possession de moi, faisant durer leur plaisir. Ils finirent par tous passer dans ma bouche. Du moins je le pense. Et surement plusieurs fois. Aveuglé par ma cagoule, mes sens étaient centrés sur mon palais et les sons même filtrés par leurs mains. Il me semblait reconnaitre les ...
... gémissements et les caractéristiques des différentes bites avalées. Le gout de leur sperme était différent aussi. J’eus un deuxième orgasme, si j’ose parler d’orgasme plutôt que de vidange de prostate ramonée par la bite infatigable. Il passa inaperçu pour eux, centrés uniquement sur ma gorge profonde et docile. Je devais rester efficace et concentré sous peine de recevoir des claques. Je devais aussi tout avaler jusqu’à la dernière goutte. C’est ce qui m’était le plus difficile. Retrouver l’action de déglutir en fermant la bouche alors que mes mâchoires étaient si douloureuses. Mais en bon chien obéissant, j’avalais les litres de sperme, la bouche pleine et dégoulinante. La nuit devait être bien avancée quand ils finirent par partir. Je restais bouche ouverte, langue pendante, à demi conscient. La bite de latex finit par être arrêtée. Sensation de vide. Mon anus n’existait surement plus, un liquide suspect s’écoulait. Ma cagoule fut retirée. Air frais. Je fus détaché. Nolwenn me parlait. Je ne comprenais pas. Des coups de pied me dirigèrent vers un radiateur. Ma chaine y fut attachée. Je me roulais en boule, la bouche collante de sperme. Je m'endormis.