Des vacances ... olé olé (7)
Datte: 07/05/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: chousinga, Source: Xstory
... demain.
Nos deux réponses ont fusé en même temps.
Lorsque Carmen est partie, Melissa vient se coller à moi dans une position non équivoque : elle se couche de tout son long sur moi et se frotte langoureusement dans une peau à peau torride qui ne laisse aucun doute quant à ses intentions. Et c’est seulement maintenant que je commence à comprendre ce qui fait la réputation des filles noires au lit : elles ne font pas mieux l’amour que les blanches, mais elles n’en ont jamais assez ! Et Melissa illustre parfaitement cette caractéristique.
Je n’ai pas osé le dire quand Carmen était là pour ne pas la froisser, mais j’ai encore terriblement envie de toi. Et surtout, pour moi toute seule ! Maintenant que nous disposons de l’appartement exclusivement pour nous deux, je te veux en moi longtemps, partout, dans toutes les positions ...
Whouaw, quel programme ! J’essaierai de l’honorer tant que je pourrai, car moi aussi, j’ai encore terriblement envie de toi.
Et nous voilà repartis à la découverte du Kamasoutra et de tous ses délices. Après avoir dégusté toutes les variantes possibles du sexe oral et vaginal, je me retrouve finalement en levrette, avec ma bite engloutie au fond de son vagin, sans avoir joui depuis la reprise de nos ébats. Ce qui n’est pas vraiment son cas : je n’ai pas compté le nombre de ses orgasmes, mais cette fille semble totalement insatiable alors que moi, je commence à me demander si j’arriverai encore à jouir aujourd’hui, après tout ce que j’ai ...
... déjà donné !
C’est alors que mon regard tombe sur son époustouflant fondement et que cette vision me flanque un violent coup d’adrénaline. Voilà un chemin par où je ne suis pas encore passé et, rien qu’à cette idée, je ressens un puissant regain d’énergie envahir tout mon corps. Comme elle m’a dit "Je te veux en moi, partout ...", je prends ça pour une autorisation, voire une demande de sodomie.
Je croche donc mes doigts dans ses fesses charnues et les écarte généreusement, dévoilant son petit trou bien serré. Je sors ma queue trempée de cyprine de son étui brûlant et pose mon gland sur son anus.
Oh, oui, s’il te plaît, encule-moi, j’adore ça et on ne l’a pas encore fait. Tu peux y aller franco, j’ai l’habitude.
Je pousse donc sans brutalité, mais également sans retenue et, de fait, mon membre, pourtant de belles dimensions, pénètre sans difficulté jusqu’à ce que mes couilles viennent cogner ses fesses. Je commence à la ramoner et je suis fasciné par la vue de ma bite pâle qui rentre et sort de ce corps d’ébène.
Oh oui, c’est bon ça ! Vas-y maintenant, frappe-moi fort, bourre-moi les fesses avec ta grosse queue, fais-moi jouir par le cul ...
Et durant tout le temps où je lui pilonne le fion à grands coups de bite, elle n’arrête pas de sortir des insanités plus énormes les unes que les autres. Cette saillie a quelque chose de sauvage, d’animal, chacun de nous ne s’occupant plus de l’autre que comme d’un instrument pour trouver son plaisir. Ma queue s’enfonce à ...