1. Ma soumission à Katia et Franck (1)


    Datte: 07/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Le Professeur de Choses, Source: Xstory

    Cette histoire a débuté au cours de ma vingt-cinquième année. À l’époque, j’étais amoureux en secret d’une magnifique femme de quarante ans. Katia travaillait dans les bureaux de l’hôpital au sein duquel j’étais cuisinier.
    
    Le boulot d’un cuisinier en hôpital n’est pas très passionnant. Il s’agit surtout d’ouvrir des boîtes et d’en faire chauffer le contenu dans d’énormes marmites. Mes semaines étaient vraiment monotones, mais il y avait un moment qui rendait la journée merveilleuse et qui me retenait à ce poste : c’était la pause cigarette de l’après-midi.
    
    Par groupe de deux ou trois, nous allions prendre l’air dans la cour. Souvent, nous fumions notre cigarette en même temps que le personnel des bureaux. Et c’est là que je voyais Katia.
    
    Dès le premier jour, je suis tombé raide dingue de sa silhouette de déesse et de sa classe éblouissante. Elle avait de longs cheveux noirs, très raides, qui descendaient jusqu’au ras de son cul parfait. Ses yeux, qu’elle avait noirs également, scintillaient en permanence d’un éclat hypnotique, comme deux belles pierres précieuses.
    
    Quant à ses mains… mon Dieu, ses mains ! J’aurais donné n’importe quoi pour que ma bite se retrouve prisonnière de ces beaux doigts gracieux, fins et élégants.
    
    Et puis elle dégageait l’assurance tranquille des femmes quadragénaires, ce qui, à mes yeux, parfaisait son aura de déesse.
    
    À l’époque, je n’avais pas de petite amie et je me branlais souvent en pensant à Katia. J’imaginais, là, au creux ...
    ... de ses belles cuisses, une chatte poilue et magnifique. Une chatte que je me voyais lécher avec une application proche de la vénération.
    
    Je pense que ces branlettes quotidiennes expliquent en partie le fait que j’étais affreusement gêné en sa présence. Je ne pouvais pas la regarder sans imaginer aussitôt son cul ou sa chatte, sans que l’image de son corps nu ne s’impose aussitôt à moi.
    
    De ce fait, je n’ai jamais réellement engagé la conversation avec elle. En revanche, dès qu’elle parlait avec l’un de ses collègues, j’écoutais avidement le son de sa voix, je m’en délectais… et, bien entendu, je la regardais en douce, autant que la discrétion pouvait me le permettre.
    
    Ça aurait pu en rester là : moi vénérant en secret une femme qui ne me voyait que comme une vague présence à sa pause clope de l’après-midi.
    
    Mais voilà… à force de me branler quotidiennement en pensant à cette déesse, je suis entré malgré moi dans ce que je considère, avec le recul, comme une forme de folie douce. Je me suis mis en tête, petit à petit, de déclarer ma flamme à Katia.
    
    Et puis, un jour, tandis que j’allais aux bureaux pour signer ma feuille de présence, je suis tombé sur un panneau sur lequel étaient affichés tous les numéros de téléphone du personnel de l’hôpital. J’ai vite repéré celui de Katia et, à une vitesse folle, j’ai entrepris de le mémoriser. Je l’ai répété en boucle dans ma tête jusqu’à ce que je me retrouve seul aux vestiaires. Là, j’ai sorti mon portable et j’ai entré son ...
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