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Ma déchance (6)
Datte: 07/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Clarisse trav, Source: Hds
... ce prénom ! Je suis espagnol d’origine. J’aime beaucoup la France et aussi les jolies françaises. - Et bien ma chérie, tu ne me présente pas ? Moi c’est Julia et j’adore l’Espagne où je suis allée à de nombreuses reprises dans le cadre de ma profession. Clarisse mon amie de passage à Paris adore l’Espagne également. N’est-ce pas Clarisse ? - Euh oui… J’aime beaucoup ! - Vous connaissez quelle région d’Espagne ? - La région de Barcelone et le Sud - C’est justement ma région d’origine : je suis de Malaga. - Ah oui…nous connaissons Malaga ! Nous y avons passé de belles vacances n’est-ce pas chérie ? C’était vrai. Deux ans auparavant nous avions passé trois semaines dans un superbe lotissement en bord de mer. Julia qui passait le plus clair de la journée au bord de la piscine m’avait laissé une certaine liberté. J’en avais bien sur profité pour draguer les filles sur le bord de la plage. Le souvenir d’une jeune hollandaise blonde que j’avais convaincue de me suivre dans le repli d’une dune me revint en mémoire. Je revis ses gros seins blancs et laiteux, ses fesses un peu trop volumineuses, ses yeux étonnés quand je l’eus pénétrée sans aucun préliminaire « Les français est une cochon » répétait-elle avec un accent des plus ridicules… J’effaçais ces images aussitôt. Quelle revanche pour elle si elle me voyait aujourd’hui affublé d’une mini-jupe et maquillée comme une pute ! - Puis je vous offrir un verre ? - Avec plaisir José. C’est très aimable à vous. ...
... Pour moi ce sera un cocktail maison. - Et vous Clarisse ? - Euh… je préfèrerais un jus de fruit. - Jus d’orange ? - Très bien merci… Cela faisait des mois que je n’avais bu la moindre goutte d’alcool ! Julia sous prétexte de me faire perdre quelques kilos superflus et d’affiner ma taille qui je l’avoue s’était un peu empâtée, me l’avait interdit. Depuis j’avais retrouvé « une ligne de jeune fille » comme elle le disait ironiquement et je ne m’en portais que mieux mais j’avoue que je mourrais d’envie de déguster une bonne vodka ou un whisky comme je le faisais quotidiennement avant que tout bascule… - Clarisse tient à conserver la ligne ! plaisanta Julia. En plus, l’alcool lui tourne la tête et elle tombe dans les bras du premier venu quand elle en boit… - Ah intéressant ! C’est dommage : j’aurais aimé être celui-là ! Avec des beautés telles que vous, tous les hommes rêvent d’être des tombeurs ! - Ah, ah, ah… Je me forçais à rire un peu avec eux malgré la gêne qui me paralysait depuis que j’étais assise sur ce tabouret instable. Les jambes croisées, le dos droit, les mains sur mes genoux, je sentais le regard inquisiteur de José posé sur moi comme un fer rouge. J’avais chaud, la sueur me coulait dans le dos par intermittence, la rougeur me montait au visage. Je me sentais prête à défaillir… Julia dû avoir pitié de moi car, quelques minutes plus tard, elle me proposa de la suivre aux toilettes pour soit disant nous refaire une beauté en attendant que ...