1. L'escalier d'Escher


    Datte: 07/05/2019, Catégories: ff, fépilée, plage, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral mélo, consoler, Auteur: Claire Obscure, Source: Revebebe

    ... contact du cuir sur mes lèvres épilées et mouillées.
    
    Nous dégustons le poisson en silence, les yeux dans les yeux. Enfin, presque tout le temps.
    
    […]
    
    Valérie termine son verre de vin blanc. Je la regarde, toujours en souriant. J’entends la sonnerie qui nous indique l’arrivée du dessert. Je sais déjà qui je servirai en premier, les règles de politesse dussent-elles en souffrir !
    
    Nue sous la ceinture, je m’approche du monte-plat ; j’y laisse nos assiettes vides et récupère les coupes glacées. Je sens le regard de Valérie sur mes fesses, et cela me fait chaud partout.
    
    Demi-tour parfait ! C’est que je ne suis pas le genre de filles à se laisser reluquer les fesses ! J’ai beaucoup mieux à proposer.
    
    Je joue quelques instants avec Valérie : alors que je m’apprête à poser une coupe devant elle, au dernier moment je la pose devant ma chaise.
    
    — Oups ! J’ai encore perdu !
    — Oh, ma pauvre Claire, tu m’en vois désolée.
    
    Dès que j’ai les mains libres, je présente mon dos à Valérie ; je me penche légèrement vers l’avant pour mieux faire ressortir mes fesses. Val les caresse puis introduit un doigt dans ma fente. Il n’y reste, hélas, pas très longtemps. Elle a besoin de ses deux mains pour défaire les lacets.
    
    Me voici toute nue, dans un restaurant ! J’ai en plus l’impression d’être en pleine nature.
    
    Je veux m’asseoir de nouveau sur les genoux de Val, mais elle m’arrête :
    
    — Tu risques de tacher ma jupe. Ce serait dommage.
    
    Clic ! Le dernier bouton saute. La ...
    ... jupe glisse toute seule, révélant son sexe tout serré entre ses cuisses fermées. Je m’assois. Nous nous embrassons ; nos langues se mélangent dans nos bouches tout comme nos jambes sous la nappe. La chaise craque alors que je faufile mes mains sous le boléro.« Non, non, Val, je ne veux pas te l’enlever. Tu es tellement sexy avec… » Je ne parle pas la bouche pleine ; alors, c’est par gestes que je me fais comprendre. Une main en bas de son dos : « bouge pas ». Une main sur un sein en caressant dans le sens des aiguilles du montre ; « profite ; et oui, tu as le droit de mettre tes doigts juste là, bien au chaud ».
    
    Valérie parvient, un peu en aveugle, à prendre une cuillerée de glace. Oups, elle a raté ma bouche : la crème glisse entre mes seins et s’arrête juste au-dessus du nombril, faute de munitions. Ho, voilà les renforts… Le nombril succombe. La taille résiste. Je frissonne. Je ne crains plus le froid ; c’est merveilleux. La cavalerie : je rends les armes ! Passez fiers cavaliers ; gravissez vaillamment cette colline : de l’autre côté se trouve la caverne au trésor. Ah, mais voici la magicienne ; sa bouche prononce quelque formule cabalistique et aspire les premiers soldats, vérifie qu’aucun ne se serait égaré sur les dunes jumelles. Sa langue, comme une baguette magique, poursuit les troupes égarées au fin fond des sables mouvants du nombril. Pas rassasiée, elle continue son chemin vers les trésors enfouis. Je me suis allongée sur la table pour permettre cette dernière ...
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