1. Paris, un hiver


    Datte: 06/05/2019, Catégories: hhh, hbi, jeunes, copains, grossexe, facial, hsodo, init, Gay Auteur: Arthur H, Source: Revebebe

    ... même un peu la tête de côté pour que je puisse mieux le sentir. Sa respiration s’était faite plus lente, plus profonde. Quand j’eus fini avec les épaules et le cou, poussé encore plus avant par cette pulsion irrépressible, je passai les mains dans son dos et les glissai sous ses bras. Il les écarta un peu pour me permettre de partir à la rencontre de ses pectoraux.
    
    — Putain, vas-y, caresse-moi les pecs…
    
    Je pris à pleines mains ces deux objets de convoitise, et à ce moment précis, une boule brûlante se forma dans mon bas-ventre. Je changeai de position pour placer chacune de mes jambes d’un côté et de l’autre de ses fesses, les alignant sur les siennes étendues dans l’herbe. Il pencha la tête en arrière jusque sur mon épaule. Mon massage était devenu une véritable caresse érotique. Pendant que je pétrissais ses pectoraux et que je jouais avec ses tétons par dessus son t-shirt trempé de sueur, il avait commencé à appuyer légèrement puis de manière de plus en plus insistante sur mon entrejambe.
    
    — Tu me fais bander un truc de dingue, passe sous mon t-shirt…
    
    Et joignant le geste à la parole, il souleva son vêtement, passa l’avant derrière sa tête, prit ma main droite et la mit sur ses abdos. Je sentais chacun de ses muscles, chacun de mes objets de fantasmes de l’année sous mes doigts, et je dois avouer que je n’ai jamais eu plus profonde érection que celle-ci. Mon sexe dur frottait contre son dos.
    
    — Tu bandes dur, la vache, tu veux voir la mienne ?
    
    Je ne me ...
    ... souviens pas avoir répondu, mais ce dont je me souviens, c’est que je fis pivoter sa tête pour m’emparer de sa bouche, et que je l’embrassai avec le plus de fougue que je pus, allant chercher sa langue. Partout, même dans ses baisers, il était plein de cette virilité qui m’excitait tellement. Il me fit signe de me lever, m’entraîna derrière un arbre, à l’abri des regards, mais qui nous offrait à la vue de ceux qui étaient sur l’autre berge de l’Eure.
    
    — T’inquiète, ils nous verront pas, il fait noir, ici…
    
    Il me poussa dans l’herbe, et s’allongea sur moi, frottant tout son corps contre le mien. Après quelques minutes de cette caresse, il se mit à genoux au niveau de mon ventre, et j’entendis le zip de sa braguette.
    
    — Faut que tu me branles… faut que je jouisse…
    
    Et il sortit son sexe d’un geste brusque. Tout d’abord, je crus que c’était un effet d’ombre, mais quand je sentis son gland frotter contre ma poitrine, je me rendis compte de la taille de son engin.
    
    — Pas mal, hein, mais ça rentre pas partout…
    
    Il souriait fièrement, et d’une main, décalotta totalement son gland qu’il présenta près de ma bouche mais se ravisa brusquement.
    
    — Me suce pas, j’ai une MST, je serai bientôt guéri, mais ça me ferait chier que tu la choppes. Branle-moi plutôt.
    
    Je pris de la main droite l’engin fièrement dressé, le palpai. Il n’était pas complètement dur, mais ferme, plein, rempli de veines saillantes, gorgées de désir. Je fis aller et venir ma main sur son gland et le début de ...
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