Je viens de me faire baiser par une bête humaine
Datte: 06/05/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Première fois
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... entre les cuisses. C’est indécent. J’ai presque honte. Presque. Mes doigts me fouillent, me pénètrent, m’écartent. Je crois que je vais me faire jouir pour me calmer. Ça fait des années que je ne me suis pas masturbée, mais là j’ai envie, tout de suite.
J’y suis presque, je sens la pression monter. Mes seins me font mal, j’ai chaud. Mais l’homme vient de sortir avec ses médicaments à la main. Il a vu la voiture et se dirige vers moi. Je dois remettre de l’ordre dans ma tenue avant qu’il n’arrive mais il pleut, alors il court. Il n’avait pas remis son imper en arrivant. Sa chemise blanche est trempée. En entrant dans la voiture il doit se douter de quelque chose. Je suis en train de refermer mon peignoir. C’est facile de deviner qu’il était donc ouvert juste avant.
Il ne dit rien et me regarde, l’air surpris. Je le laisse faire quand je sens sa main saisir un pan de mon peignoir pour l’écarter. Sa grosse main se pose sur ma cuisse. Elle est chaude et forte. Il approche son visage du mien et je le laisse faire. Je lui offre mes lèvres qu’il suce tout doucement, puis ma langue qu’il aspire. Il n’a pas prononcé un mot. Quand il remonte sa main vers mon sexe, j’écarte doucement mes cuisses pour lui faire de la place. Il n’a pas l’air surpris de sentir mon humidité. Il me caresse en m’embrassant tendrement. Sa main remonte vers mes seins qui l’attendaient. Son contact est d’une délicatesse incroyable quand on voit la masse de muscles de cet homme. Il est tendre et doux. Sa ...
... bouche remplace sa main sur mes tétons, je me laisse aller à ses caresses. Il sait ce que je veux, il sait ce que je faisais en l’attendant. Je le laisse me faire plaisir, me pénétrer de ses doigts alors qu’il me mordille les seins, et me faire jouir profondément. Ça faisait longtemps qu’on ne m’avait pas donné du plaisir ainsi, sans me baiser.
Mon mari me baise souvent, mais l’intensité de nos ébats n’est plus celle de nos débuts. Je jouis, certes – c’est un peu l’objectif – mais ça n’a rien à voir. Je viens de ressentir une onde de choc terrible qui me laisse baba.
Il referme mon peignoir, toujours sans un mot, m’embrasse à nouveau. Je tourne la clé de contact.
Nous reprenons la route. Je roule au pas, à la fois parce qu’il pleut à nouveau très fort et parce que je voudrais que ce moment dure encore. J’ai presque honte de ce que nous venons de faire. Presque. Personne ne le saura. Nous allons rentrer. Il va prendre sa fille dans ses bras et partir. Je ne le reverrai pas.
Je sens encore ses doigts en moi. Je sens encore sa langue dans ma bouche, ses dents qui mordillent mes tétons. Je sens encore les secousses de mon orgasme. Je mouille, je tremble. J’ai honte. Presque.
Il nous reste dix kilomètres à faire. Je m’arrête sur le parking d’un restaurant routier. Il faut qu’on se parle. Je coupe le contact, mais il n’a pas envie de parler. Moi non plus. Je quitte mon peignoir pendant qu’il ôte son pantalon. Il recule son siège. Je viens sur lui. Je suis toute menue ...