1. Je viens de me faire baiser par une bête humaine


    Datte: 06/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... provoque chez lui ce tout petit geste de rien du tout.
    
    Mon mari rentre enfin, trempé comme une soupe. L’homme se présente et s’excuse de sa présence. Marc lui dit qu’il a bien fait de venir, me remercie de l’avoir fait attendre, et nous prie de l’excuser un instant, le temps qu’il se sèche lui aussi.
    
    Marc se dirige vers la salle de bain. L’homme me remercie à nouveau. Je me caresse un peu la jambe, et son regard s’illumine à nouveau. Nous nous sourions, comme deux gamins.
    
    Quand Marc revient, lui aussi vêtu d’une chemise blanche – mais à sa taille – et d’un jean lui aussi taillé à sa forme, il s’approche de la petite et sort son stéthoscope.
    
    Nous le laissons travailler. L’homme se lève et se recule. Je le guide vers la cuisine où je prépare trois tasses. Nous parlons un peu, mais je sens son regard changé. Ses phrases sont moins fluides, ses mots hachés. Je me retourne vers la cafetière qui est face à une fenêtre. Je souhaite le laisser reprendre ses esprits et moi les miens. Je vois son reflet dans la vitre. J’ai l’impression qu’il m’observe de la tête aux pieds.
    
    Je vois aussi mon propre reflet. Je dois avoir dix ans de plus que lui, et je suis nue sous mon peignoir. Il doit le savoir. C’est indécent. C’est d’autant plus indécent que mon mari est là, juste à côté, en train de prendre soin de sa fille. Je sens mes seins se raidir et des frissons me parcourir. Ses yeux me font le même effet que des mains qui passeraient sous mon peignoir pour me caresser. ...
    ... Je l’imagine nu derrière moi, aussi nu qu’il l’était tout à l’heure, aussi beau aussi.
    
    Les deux premières tasses sont pour Marc et lui. Je me retourne et je le prie d’emmener à Marc celle qui lui revient. C’est une occasion de l’éloigner de moi, et d’éloigner mes mauvaises pensées.
    
    La dernière tasse coule, et il revient déjà. Quand je me retourne vers lui je dois être rouge pivoine. La ceinture de mon peignoir s’est un peu détendue, élargissant un peu trop mon décolleté. J’aurais pu la resserrer avant de me retourner mais je ne l’ai pas fait. Je m’adosse au plan de travail et je lui fais face. Il boit son café en me regardant. Je fais de même. Je ne sais pas ce qu’il pense, mais je le sens détendu. Il sourit, il me regarde. Ses yeux me scrutent et me parcourent. Il a regardé mes pieds, longuement, puis il est remonté et son regard s’est fixé entre mes seins. Je voudrais ouvrir davantage, mais ça ne se fait pas. Je voudrais lui dire que je suis heureuse qu’il me regarde, mais ça ne se fait pas. Je suis rouge de honte. Presque.
    
    Marc nous rejoint. Il donne son diagnostic à l’homme qui le remercie chaleureusement. L’ordonnance est prête, mais il est tard. Il faudra aller à la pharmacie de garde qui se trouve à vingt kilomètres. L’homme est perturbé. Nous comprenons qu’il n’a plus de permis de conduire, qu’il devra attendre demain.
    
    Je me propose spontanément de l’y conduire si Marc est d’accord pour garder la petite en attendant. Évidemment, il l’est. J’att**** un ...
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