Petit bourgeois surdosé (3)
Datte: 05/05/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... mes genoux et ma mâchoire donnaient des signes de fatigue. Je m’en peignis et on me changea de position.
Un quadragénaire maigrelet, à la bite fine et droite, se mit sur le dos et je dus m’empaler dessus.
Ainsi je pouvais mieux voir Marie-clotilde se faire déboiter, d’autant que je préférai branler les mecs plutôt que de les pomper, au moins provisoirement, pour reposer ma bouche. Elle était dans la même position que moi, à la différence près qu’un mâle se tenait debout, la queue comprimée entre ses gros roberts qu’elle maintenait serrés avec force.
Le mec juta entre ses seins. Il était de dos. Je pus voir ses fesses se crisper pendant l’orgasme et tous ses muscles se contracter pendant qu’il pissait sa jute. Quand il se retira, un autre voulut prendre sa place.
- Attends ! dit Florian...
Et il vint me chercher... en m’empoignant par les cheveux.
- Lève-toi... Lèche-lui les nibards !
Je vis alors que le type avait abondamment déchargé. Le foutre ruisselait entre les seins. J’en approchai la langue. L’odeur était forte... le goût amer auquel se mêlait la sueur salée de la femme. Je trouvai cela plutôt désagréable. Y avait-il plusieurs arômes de jus ? Le souvenir de ma première orgie masculine était bien plus agréable. Je me demandai s’il y a des spermologues pour le jus comme il y a des œnologues pour le vin.
A chaque fois ou presque ensuite qu’un mec découilla dans ou sur la femme, il me fallut jouer de la langue. Si le mec avait joui dans la chatte ou ...
... le cul, je devais tout bouffer en enfonçant ma langue au plus profond du trou. Les gars, du moins la majorité, me donnaient leur bite à décaper après le coït. Certains, pourtant, partaient dès leur coup tiré, sans même dire au revoir.
Quelques-uns, néanmoins, attendirent l’apothéose collective en éjaculant quasiment simultanément sur ma propriétaire. Couverte de semence, la femelle s’allongea, écartant ses jambes, exhibant sa vulve, la caressant et attendant que je vienne une fois encore recueillir toute la liqueur de couilles. Il y en avait beaucoup, jusqu’à l’écœurement, aussi hésitai-je.
- A genoux, côte à côte !
Le désir de Florian était souverain et il se mit à secouer son manche vigoureux au dessus de nos têtes.
- Ouvrez la bouche et tendez la langue, chiennes !
Nous fumes dociles évidemment. Mais j’aurais préféré reprendre cette grosse masse dans le cul avant d’en boire la sève. J’attendais patiemment bec ouvert comme un oisillon qui espère son repas mais, à la place, je reçus un jet d’urine chaude.
Je voulus me dégager mais une claque de Florian me remit dans le droit chemin.
Daniel, et l’homme au pick-up sans doute, nous pissaient dessus. Ils étaient dans notre dos, je ne m’étais rendu compte de rien.
Quand cette pluie d’orage s’arrêta, Florian éjacula. Le sperme se dispersa à droite et à gauche et j’ ’en reçus qu’une grosse larme en plein sur la narine gauche. De son méat coulait encore un épais suc blanc et je me hâtai d’aller le recueillir ...