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Kentin 1 Comment ça a basculé
Datte: 04/05/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Kentin, Source: Hds
Souvent les choses se passaient comme cela. C’était le soir. Je regardais Corinne qui lisait à mon côté dans dans lit. Ses lunettes suivaient les lignes du texte qui semblaient l’absorber. Ma main se tendait pour trouver la peau lisse de ses cuisses. J’effleurai la peau soyeuse au bas du tee-shirt long en coton qui lui servait de chemise de nuit. Je scrutais sur son visage un signe d’agacement ou acquiescement. Certains soirs je voyais son corps imperceptiblement se relâcher, son visage se perdre sur les pages. Mes doigts alors s’enhardissaient vers l’intérieur des cuisses. Je guettais le trouble qui la gagnait. Alors elle saisissait le marque page et refermait son livre. Elle repliait ses lunettes. Rien que ces gestes anodins suffisaient à me rendre dur en bas. Les muscles de ses cuisses peu à peu se relâchaient et alors je savais que l’étreinte ne serait plus une promesse mais une réalité. Mes mains cherchaient sur et sous le tee-shirt les parties plus intimes et plus chaudes de son ventre et de ses seins Je faisais rouler les mamelons sous mes doigts. Et lorsque ses cuisses s’ouvraient me laissant accès à son triangle noir, je savais que le moment était venu. J'ôtais alors mon caleçon et mon tee-shirt de nuit et ma bouche partais à l’exploration du continent mystérieux qui m’était offert. Mon nez, mes lèvres partaient à la découverte de son buisson dont j’essayais de deviner si les prémices du désir allaient me faire l’offrande de quelque effluve témoignant de ...
... son émoi. Petit à petit ses chairs intimes s’offraient à ma gourmandise et ses cuisses grandes ouvertes signaient sa capitulation. Quand ma langue avait fini de découvrir son minuscule bouton de désir je pouvais alors dévorer avec avidité son sexe ouvert et gonflé. Je pouvais me repaître de ses sécrétions dont le goût et la texture enivrante me faisait bander et mouiller mon sexe que je frottais sur drap pour renforcer mon excitation. Souvent, j’aurais voulu plonger à ce moment mes doigts dans cette vulve accueillante, en estimer l’humidité et gonflement ou le relâchement interne, mais c’est une chose que Corinne avait fini par me refuser prétextant que je lui faisais mal. Mais je savais bien que la raison était tout autre. Cette manière de faire qu’elle aimait tant au début de notre union, elle me la refusait désormais et notre sexualité devenait très rituelle. Les nouveaux tabous étaient désormais nombreux et nos relations n’admettaient que peu de fantaisie. Je me concentrais maintenant sur son clitoris essayant de repérer à sa respiration, aux mouvements de son ventre, aux soubresauts de ses cuisses la monté d’un plaisir qui était lointain mais qui s’approchait à petits pas comptés. Parfois ma mâchoire devenait dure comme du bois, bien que je sois habitué à ce long cheminement vers un plaisir arrivait de manière subite. Une secousse brève qui secouait corps. Ses cuisses qui broyaient ma tête comme un étau. -Viens en moi, maintenant. Je plaçais mon sexe entre ses ...