1. COLLECTION TABOU. Les Mimosas (7/7)


    Datte: 27/02/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    J’ai fini l’avant-dernière partie de mon livre, Olga me laisse tranquille, sa grossesse avançant elle semble inquiète, elle est devenue très silencieuse.
    
    De mon côté, cette paix que j’espère définitive me permet de passer de bons moments très tendres avec Blandine, attention, quand nous avons des rapports, elle aime me dominer.
    
    J’ai pris l’habitude qu’elle vienne me sucer pour m’aider à bander, je ne vais pas faire le fanfaron, l’âge me rattrape, alors quand elle m’enjambe me plongeant en elle, me laisser faire, c’est un régal.
    
    Un point positif dans nos rapports, Blandine étant ménopausée, il n’est pas nécessaire de faire attention comme dans ma jeunesse, je devrais dire notre jeunesse où les filles prenaient rarement de la contraception, nous étions anxieux tous les vingt-huit jours en attendant leurs règles.
    
    Un jour, elles n’ont pas débarqué et Kevin est né, j’ai assumé surtout que sa maman savait baiser, elle était avide de sexe et quand elle m’a quitté, j’ai changé de philosophie.
    
    Les femmes mariées, les femmes des autres, impeccables, vous les sautez et vous partez, vous revenez une fois, deux fois, quand vous avez trouvé la chatte très accueillante, trois fois et basta le vingt-huitième jour, c’est le mari qui en a le souci, vont-elles être là.
    
    Dans ma jeunesse, la maladie honteuse de nos années le sida n’existait pas, nous baisions sans capote, comme je baise Blandine, sans oublier Olga, pour qu'elle est son enfant.
    
    Pour trouver ces femmes ...
    ... chaudes du cul, c’était facile, elles venaient à ma banque, dans mon bureau, elles accouraient vers moi me suppliant de leur faire un prêt.
    
    Attention, jamais d’attaque sexiste dans le cadre de mon travail, mais retrouvaille dans divers lieux dont la salle de sport.
    
    Courir sur un tapis, alors que dans notre région nous pouvons courir à l’air libre, leur paraît moderne alors je faisais moderne et je les accompagne, neuf fois sur dix, les confidences qu’elles m’ont faites me permettent de finir dans le lit de leur mari.
    
    Maintenant, j’aspire à ma quiétude et à finir mon bouquin.
    
    « Les traces du passage des soudards sont effacées, du moins je le croyais, la vie de notre communauté reprend son rythme malgré les combats qui se déroulent dans tout le sud du pays.
    
    J’ai remplacé les deux contremaîtres en engageant un homme nouveau dans la région, il avait débarqué d’un bateau depuis peu, l’autre a été John, un noir, celui qui avait aidé Nat à sortir Tom de sa case pour l’amener vers le fouet fatidique.
    
    Je pensais que la vie était redevenue normale jusqu’au jour où Adel et moi, mettons au monde un enfant neuf mois plus tard, Thomas pour moi et Adélaïde pour mon amie, c’était le prénom de Mama.
    
    Nous avons vécu notre vie en dirigeant la plantation, nous avons été les premières à libérer nos esclaves en 1863, ils sont tous restés sur la plantation, mais avec une paye d’hommes et de femmes libres.
    
    On aurait pu s’étonner que mon fil et la fille d’Adel soit métis, mais la ...
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