L'esprit de famille
Datte: 04/05/2019,
Catégories:
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Auteur: Franz Eugen, Source: Revebebe
... était bleue, bleu lavande. C’était aussi la première culotte que j’ôtais à une femme. Voilà la raison.
Je l’ai cajolée, caressée, câlinée longuement, déclenchant en elle des ondes de plaisir de plus en vives. Elle a refait instinctivement les gestes de Peggy, s’attardant aux mêmes endroits et me procurant les mêmes sensations agréables. Après tant d’années tout se passe comme avant, me faisant oublier les nombreuses filles qui, entre temps, sont passées dans mes bras sans laisser des souvenirs mémorables. Colleen et Peggy, la mère et la fille qui se ressemblent tant physiquement ont aussi certains traits de caractère communs et, chose plus curieuse, elles ont au lit des comportements intimes analogues. Allez deviner où l’hérédité va se nicher !
J’ai maintenant élu domicile au Mas Rieutort car les exigences amoureuses de ma petite Colleen nécessitent de ma part une présence quotidienne. Elle me demande en rigolant :
— C’est pas trop pour toi, vu ton âge ?
Mais elle plaisante. L’amour que nous faisons n’exige pas de ces performances physiques comme on en voit dans les films pornos où les participants (j’allais dire les protagonistes !) se dépensent sans compter. Notre amour à nous est fluide, sans heurt. Il part de l’adagio le plus paisible, passe par un allegro vivifiant et finit en un crescendo où nos chairs s’embrasent.
Pour les quelques jours du mois où elle ne peut pas m’accueillir dans sa petite grotte, je lui ai proposé de « passer par la porte de ...
... derrière ». Elle me dit qu’elle y a songé mais ne l’a jamais pratiqué et elle a un peu d’appréhension. Elle ne comprend pas que dans un aussi petit trou, on puisse faire entrer un aussi gros engin Et pourtant elle veut bien essayer avec moi. Elle connaît ma délicatesse. Elle sait que si elle a mal je n’insisterai pas. Je la fais mettre dans la position adéquate puis je la prépare si bien et si longuement qu’elle a juste une légère crispation quand je m’introduis tout doucement. Peu à peu elle se détend et un peu plus tard ses petits couinements me font savoir qu’elle y prend goût.
Peggy, n’y tenait pas, elle Quand elle acceptait c’était bien pour me faire plaisir.
— Je me sens prisonnière, disait-elle. Tu pourrais m’empêcher de m’échapper si tu le voulais. C’est humiliant qu’on me fasse ça par derrière sans que je puisse rien voir. Elle ajoutait, moqueuse : À la limite, rien ne me prouve que c’est toi qui est là.
Il y a maintenant deux mois que Colleen est ici. Elle continue à fouiller dans les papiers de Peggy et fait encore des découvertes. Soudain, aujourd’hui elle dit négligemment :
— Devine ce que j’ai trouvé dans son journal.
— Comment veux-tu que je le sache !
— Elle pense que tu es peut-être mon père
— Tu es dingue. Qu’est-ce que tu racontes ?
— … Où je suis peut-être ta fille, si tu veux mieux.
Son air décontracté me fait penser à une plaisanterie comme elle aime en faire. Mais elle enchaîne :
— À l’époque, il paraît que Ken disait à Peggy depuis ...