1. Le peintre et sa muse chapitre 9 troisième partie


    Datte: 04/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Le relieur, Source: Hds

    ... a un sexe terriblement long et épais. Quand il entre en moi, mes lèvres s'ouvrent, mon vagin se dilate et quand je contracte mes muscles vaginaux, je le sens bien et arrive parfois à jouir ainsi. Cette nuit j'ai subi ses assauts, sur le dos, à quatre pattes, puis moi sur lui, assise afin qu'il me malaxe les gros seins et joue avec mes tétons.
    
    J'ai sucé, pompé, masturbé. Ma bouche me faisait mal, ma langue était toute irritée et mes doigts aussi étaient de la partie pour explorer ma fente, tourner autour de mon clicli. J'ai crié plusieurs fois, j'ai hurlé, j'ai griffé les draps et même le dos de François. J'haletais, j'étais en sueur, je dégoulinais, lui aussi. Nos transpirations se sont mélangées.
    
    Je ne sais combien de fois j'ai eu un orgasme, à un moment donné j'ai même dis : "Arrête, arrête." Et puis je me suis retrouvée dans les bras d'Orphée sans m'en rendre compte. Ce n'est qu' aux premières lueurs de l'aube que je me suis réveillée car je sentais, oui je sentais un doigt qui cherchait à entrer dans mon sexe. Instinctivement j'ai écarté mes jambes pour faciliter le passage et j'ai senti comme il coulissait en moi mais j'ai aussi entendu comme ce doigt baignait dans du foutre, celui de mes deux hommes qui m'avaient rempli cette nuit. Glou Glou glou.... et François continuait et me murmurait à l'oreille "Tu es bien lubrifiée alors tu ne peux pas refuser, vite à quatre pattes."
    
    Et c'est ainsi qu'a commencé mon dimanche, avec un sexe dans mon sexe, une queue qui ...
    ... cognait mes fesses, des couilles qui cognaient mes cuisses et moi voyant mes mamelles qui pendaient sous moi, des mamelles qui ne demandaient qu'à être traites mais il n'y avait personne pour le faire, pas encore. Quand nous sommes sortis de la chambre, Bernard était déjà dans la salle de bain, à se raser.
    
    - Annie, alors la nuit fut agitée ?
    
    - Sans plus pourquoi ?
    
    - J'ai dû rêver mais il me semble avoir entendu des gémissements, des cris.
    
    - Des cris de plaisir, des gémissements de bonheur, oui.
    
    - Alors super, je suis content qu'enfin tu puisses satisfaire tes envies de femelle.
    
    J'ai donné un baiser à Bernard, un autre à François. Pas de jaloux ! Nous nous sommes sagement douchés nous nous sommes habillés pour prendre un petit déjeuner bien mérité. Dans la salle étaient déjà attablés le jeune couple et le vieil homme. Ce dernier, galant, s'est levé et est venu me saluer. Il a dit, s'adressant aux hommes : "J'ai rarement rencontré une dame qui a le charme de Madame. Je me permets de lui donner mes coordonnées car je serais ravi de la retrouver, ici ou ailleurs, seule ou avec vous". Mes deux "machos" étaient sans voix, moi je buvais du "petit lait". Et il a quitté la salle.
    
    Nous avons pris le petit déjeuner puis nous nous sommes levés. Bernard et François sont allés vers le jeune couple, ils ont bavardé comme de vieux amis. Et puis ils se sont faits la bise avant de me rejoindre. Je fixais la jeune femme qui semblait gênée face à moi. Pourquoi ? Je la trouvais ...