La correspondante de Malaury, ma co-locataire. (1)
Datte: 03/05/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
Chapitre unique.
Avec ma copine Malaury, nous sommes issus d’un milieu aisé d’une petite ville de province. Au lycée, nous nous entendions bien et lorsqu’il a été question de monter à Paris pour y poursuivre des études universitaires, nos parents respectifs (qui se connaissent bien) se sont entendus pour payer le loyer et les charges d’un petit appartement où nous disposerions chacun d’une chambre en colocation.
La réflexion de la mère de Malaury lorsqu’elle a dit qu’elle serait plus tranquille de savoir sa fille en ma compagnie dans la capitale m’a fait sourire : si elle avait su que sa fille et moi, nous baisions ensemble depuis le printemps, elle aurait été surprise : elle croyait sa fille sage, mais il n’en était rien... C’était une « ravageuse de sexe » qui n’était plus vierge depuis longtemps et ne comptait plus les garçons et les filles qui étaient passés entre ses bras ! En fait, c’était elle qui m’avait déniaisée et appris presque tout ce que je savais du sexe !
Mais nous étions libres de faire ce que nous voulions en matière de sexe... J’avais des copines épisodiques et de temps à autre, j’étais bi-passif...
Malaury ramenait à l’appartement des garçons ou des filles suivant son humeur... et aussi, il nous arrivait de coucher ensemble de temps en temps.
Nous nous étions mis d’accord quant aux modalités : elle prenait la pilule, quand nous allions « voir ailleurs », nous devions nous protéger et c’est ainsi qu’au début de notre seconde année ...
... universitaire, j’ai pu décharger mon foutre dans le sexe, accueillant de Malaury.
Mais ce n’est pas de notre vie que je veux vous parler...
Par l’intermédiaire du bureau des élèves, Malaury avait trouvé une correspondante qui voulait se perfectionner en français et réciproquement en anglais... Hélas, Novia, cette étudiante habitait un lointain pays d’Asie : l’Indonésie... si bien que les échanges par ordinateurs interposés avaient lieu à des horaires imposés par le décalage.
Un jour, en fin d’après-midi, Malaury m’a appelée alors que je la savais en ligne avec Novia.
— Viens... Tu vas faire connaissance avec Novia... C’est une bien jolie fille, je suis certaine qu’elle te plairait !
— Tu crois ?
— Oui... il n’y a qu’à voir comment tu regardes les filles un peu typées ‘asiatique’ !
C’est ainsi que j’ai découvert Novia : Une bien jolie fille aux grands yeux noirs légèrement bridés, aux pommettes un peu aplaties et une bouche mince qui lui faisaient un visage très expressif ! Nous avons bavardé quelques instants... Novia parlait un français encore un peu hésitant avec une pointe d’accent nasillard propre aux peuples asiatiques (mais ça, je l’ai su plus tard...).
Notre seconde année universitaire se terminait quand Malaury m’a annoncé que Novia viendrait passer les deux mois d’été avec nous et qu’elle souhaitait découvrir Paris avant de faire connaissance avec nos parents respectifs. Cela ne me concernait qu’à moitié puisque Novia était avant tout la correspondante ...