1. L'escalier de la luxure...ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope ! (3)


    Datte: 03/05/2019, Catégories: Divers, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    Cette nuit là ma femme dormit très mal. Alors que j’étais rentré environ une heure après sa performance adultérine avec mon père, je sentis que Cécile faisait semblant de dormir. Je me glissai dans le lit, ma femme était tournée de son côté. Je fit bientôt aussi mine d’être tombé dans un sommeil profond, ne bougeant pas et imitant un ronflement léger mais assez convaincant.
    
    Alors que Cécile était convaincue que j’étais bien endormi, elle se leva et se dirigea vers la salle de bain. J’attendis environ 5 minutes et l’y suivis discrètement. La porte n’étant que entrebâillée, je pus observer l’intérieur de la pièce sans me faire voir moi même. Et ce que je vis m’interpella quelque peu. Cécile était assise au fond de la baignoire, nue, les cuisses bien écartées reposant sur les bords, et d’une main avec l’aide du pommeau de la douche diffusant un mince filet d’eau, elle se caressait et se masturbait en gémissant doucement.
    
    Les yeux clos, la bouche entrouverte, se passant la langue sur les lèvres, elle rejetait sa tête en arrière en proie à un plaisir aussi intense, qu’elle se donnait langoureusement…
    
    En ayant assez vu après 2 ou 3 minutes de ce spectacle fort érotique, je revins dans la chambre et faisant à nouveau semblant de dormir, je réfléchissais à la situation présente…
    
    Ma femme s’était conduite de façon fort indigne à mon égard, me trompant avec mon propre père sous mon propre toit...mais l’essentiel n’était pas là. Cécile était une femme très intelligente, ...
    ... elle connaissait l’intelligence et le sens d’analyse de ma mère ainsi que ses “penchants “ un peu spéciaux. Or en s’exhibant ainsi, vêtue d’une nuisette très courte et minaudant autour de mon père, elle savait qu’elle allait nécessairement s’attirer les foudres “maternelles”.
    
    J’avais l’intuition que la personne, qui était l’objet de son fantasme durant sa masturbation, au demeurant fort étonnante puisque c’était la première fois que je la voyais faire cela, n’était pas mon père, encore moins moi ! Mais l’auteure de mes jours. Lors d’une confession de Cécile, plus tard, je devais apprendre qu’en effet mon intuition était exacte, ce n’était pas la première fois qu’elle se donnait du plaisir très discrètement, en pensant à sa belle-mère. En effet, lorsque je lui avais raconté les jeux de mes parents avec “n=°9”, et le sadisme non feint de ma mère, elle devait m’avouer plus tard que contrairement à sa répulsion feinte, Cécile avait éprouvé une vague de plaisir de pervers, qu’elle s’était aussitôt identifiée à la pauvre esclave sexuelle de ma mère, et qu’elle avait joui en un plaisir solitaire intense, qu’elle s’était donné aussitôt à l’abri des regards.
    
    D’autres éléments troublants, qui me revenaient en mémoire, devaient effectivement me convaincre d’accepter cette voie de probabilité. Oh, des petits détails sans importance, qui pris séparément n’offraient que peu d’intérêt, mais mis bout à bout, donnaient un faisceau de preuves convergentes .
    
    D’abord, pourquoi cette haine ...
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