Claude-Marie: Cahier 3 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 3

... moi un petit gémissement. Ma queue est à nouveau pleinement gonflée. Elle penche sa tête pour pouvoir aller plus loin dans sa fouille. Je caresse sa langue avec la mienne. Elle bat en retrait attirant ma langue dans sa bouche. Toutes les deux nous respirons difficilement. J'ai l'impression que je pourrais jouir si nous continuons à nous embrasser trop longtemps. Le chauffeur est très loin dans mes pensées. Jessica abandonne mon sein et place sa deuxième main sur ma gorge. Ses deux mains entourent mon cou. Elle les serre un peu et me force à me reculer. Nos lèvres se séparent. J'ouvre les yeux. Jessica a un sourire carnassier. Elle abandonne mon cou et caresse mon visage. Elle glisse ses doigts entre mes seins et tire un peu le décolleté.

-- Montre tes seins au chauffeur pour le récompenser.

Je fais faiblement un signe négativement à Jessica. Elle me sourit et me fait un signe sans équivoque. Je dois faire ce qu'elle me dit. Je me tourne lentement vers le rétroviseur et je fais lentement glisser les bretelles de ma robe. Je tire sur le corsage qui glisse lentement découvrant mes seins. Je regarde directement vers le rétroviseur. Je vois le chauffeur qui m'observe avec un grand sourire. J'arrête quand le corsage repose sous mes seins. Jessica me caresse les deux seins puis elle les embrasse. Elle prend mon mamelon gauche entre ses lèvres et le serre sans le sucer. Ce pincement envoie une petite décharge électrique à travers mon corps et je sens mes poils se hérisser. ...

... Elle abandonne mon sein et dépose ses lèvres légèrement sur les miennes avant de reprendre place dans le siège.

-- Replace ta robe ma chérie, nous arrivons.

Je réalise qu'en effet nous arrivons au centre sportif de l'université. Le chauffeur sait exactement où nous déposer afin que nous soyons très près de l'entrée des estrades. Je réalise que cela fait longtemps que je suis venue ici. Il me semble que c'était dans une autre vie.

Quand le chauffeur ouvre la portière, j'ai l'impression d'avoir les joues en feu. Mes seins pointent fièrement devant moi. Ma queue est complètement tuméfiée. Jessica prend ma main et me dirige vers le centre des estrades. Il y a quelques personnes qui regardent la pratique. Ce sont principalement de jeunes filles. Je remarque tout de suite Caroline, sa copine Lise et la petite asiatique qui les accompagnait. Elles sont entourées d'une demi-douzaine d'autres Asiatiques toute aussi menues les unes que les autres.

Quand elle nous voit, Caroline se lève et nous présente à ses amies avec autant de déférence que si nous faisions partie de la royauté. Caroline porte un t-shirt de coton blanc trop translucide ce qui fait que je vois non seulement ses aréoles, mais aussi ses marques de bronzage. Sa microjupe rouge lui cache à peine les fesses. Toutes les filles sont habillées de façon à exhiber leurs corps.

Caroline me fait la bise puis elle fait déplacer les filles afin que Jessica et moi puissions nous assoir à son côté.

-- Cela fait ...