Claude-Marie: Cahier 3 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 3

... moi et il se déshabille. Sa queue est encore bien droite devant lui. Je cherche à retirer ma robe. Je suis nerveuse. Quand la robe tombe a mes pieds, Max se place pour m'entourer avec ses jambes et il m'attire vers lui. Je perds l'équilibre et je tombe dans ses bras. Sa bouche va directement se coller sur mon sein gauche. Sa bouche couvre mon aréole. Il titille mon mamelon avec sa langue et il aspire. Max me procure un mélange de douleur et de plaisir indescriptible. Sa main droite va se placer sur mon autre sein. Elle soupèse mon sein, elle le caresse puis il pince et étire mon mamelon. Je frissonne.

-- J'adore tes seins et ils ont bon gout en plus! Marie-Claude, je t'adore telle que tu es.

Je caresse ses cheveux pendant qu'il suce mes seins. La sensation est merveilleuse. J'ai l'impression que je pourrais jouir quand il titille mes mamelons. La douleur dans mes seins est entièrement oubliée.

Max prend ma queue dans sa main. Il réussit à la réanimer. Il se fait glisser entre mes jambes et prend ma queue dans sa bouche. Je ne peux m'empêcher de faire valser mes hanches. Il prend ma queue tout entière dans sa bouche et caresse mes deux seins avec ses mains. Je ferme les yeux. J'ai l'impression d'être sur un nuage. Il se déplace et va titiller ma rosette avec langue. Il lèche consciencieusement ma raie tout en me massant les fesses.

Il glisse sous moi et place à nouveau sa bouche sur la mienne. Ma langue fouille sa bouche. Je sens sa queue dure contre la mienne ...

... tout aussi dure. Il a placé une main sur mon sein. Il torture mon mamelon. Je sens que ma queue laisse couler du lubrifiant. Je le désire tellement.

Je suis un peu déçue quand il met fin au baiser et qu'il se déplace à côté de moi. Je me love contre lui et je caresse sa queue dure. Il semble pensif.

-- Ta mère est différente.

-- Je sais. Elle est heureuse. Es-tu certain de m'aimer telle que je suis devenue? Il y a deux semaines, tu ne voulais pas que je change...

-- Je suis certain.

Maxime se lève et commence à s'habiller.

-- Il y a une fête samedi. Vas-tu être prête à m'accompagner?

-- Bien sûr.

-- Je dois y aller. Viens me voir à l'entrainement demain. Je dois y aller sinon je vais avoir des problèmes avec l'entraineur.

Il m'embrasse puis il me quitte. J'ai un moment de spleen. Je fixe le mur pendant quelques minutes avant de me lever pour aller rejoindre ma mère à la piscine.

Elle est couchée sur le ventre. Ma mère porte un micro bikini noir que je ne lui connais pas. Elle porte aussi des bracelets de mince tissu extensible noir entièrement imbibé d'huile à ses chevilles et ses poignets. Elle écoute un disque avec un baladeur. Son corps est couvert d'huile. Quand je m'approche, je réalise que la fine cordelette qui passe entre ses fesses ne couvre pas entièrement sa rosette.

Ses jambes sont légèrement écartées ce qui me laisse voir le début du petit triangle de tissu noir qui ne cache pas complètement ses lèvres. Cette vue de ma mère m'excite ...