Claude-Marie: Cahier 3 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 3

... la porte. Il s'arrête et me regarde. Il est visiblement interloqué. Il semble aussi surpris que je le suis. J'ai l'impression que mon cœur et le temps s'arrêtent.

Je saute dans ses bras. J'enlace mes bras autour de son cou solide et mes jambes autour de son tronc. Je ferme mes yeux. Ma bouche rejoint immédiatement la sienne. Il place une main ferme dans mon cou et l'autre sous mon fessier pour m'aider à garder ma position. Je le sens faire un puis deux pas en avant. Il me fait entrer dans la maison. La porte claque derrière nous.

Notre baiser est fougueux. Max appuie le haut de son dos sur la porte derrière lui. Mes narines aspirent goulument son odeur qui m'enivre. Ma robe s'est chiffonnée autour de mes hanches. Ma queue dure est fermement appuyée sur ses abdominaux musclés. Je me sens suffisamment soutenue pour déplacer un bras. Je glisse ma main gauche derrière moi et j'attrape sa queue tout aussi gonflée que la mienne. Max grogne. Sa langue me pénètre plus profondément, plus sauvagement. Sa main comprime mon cou. Pendant un instant, elle comprime un peu trop mon cou. Ma tête tourne.

Max abandonne mon cou et il place momentanément sa main sur la mienne pour me faire serrer un peu plus sa queue. Il dégage une chaleur animale. Il déplace sa main et fait glisser son pantalon de jogging. Sa queue me frappe quand elle est libérée. Max déplace ses deux mains sur mes fesses et du bout des doigts il écarte mon tanga. Il me soulève et place son gland sur ma rosette.

Je ...

... suis heureuse d'avoir pensé à nettoyer et hydrater mon fondement il y a quelques minutes. Malgré l'énervement et l'excitation, je me concentre à me détendre. Je sens la gravité faire son travail. Son gland écarte lentement ma rosette et me pénètre inexorablement. Max va m'empaler sans que je ne puisse rien y faire.

Notre baiser devient encore plus sauvage. Mes joues sont couvertes de nos salives. Je respire difficilement. Mes seins sont écrasés contre la poitrine de mon amant. Ma queue frotte contre ses abdominaux contractés.

Son gland finit de pénétrer ma rosette. J'ai l'impression de sentir tous les détails de sa queue, chacune de ses veines gonflées. Je respire de plus en plus difficilement. Je sens mon cœur qui s'emballe. J'ai chaud. Son gland glisse contre ma prostate. Ce simple contact me fait chavirer.

Je dois abandonner notre baiser torride pour avaler goulument de l'air et crier mon bonheur. Ma queue qui a vaincu l'élastique du tanga depuis longtemps déverse mon jus sur son maillot. Pendant que je jouis, Max me fait coulisser sur sa verge. J'ouvre les yeux un instant et je lui fais un grand sourire. Son visage est écarlate. Ses magnifiques muscles sont pleinement gonflés.

Je referme les yeux et place à nouveau ma bouche sur la sienne. Max change sa position. Il se plante profondément dans mon trou et il se met en marche vers le salon. Rendu là, il me dépose sur le canapé. Je me retrouve les jambes en l'air. Il place l'arrière de mes genoux sur ses épaules ...