Très chère belle-maman
Datte: 02/05/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
extracon,
alliance,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
fdanus,
fsodo,
hdanus,
jouet,
confession,
Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe
... l’heure l’a réellement troublé, tu as entendu ses compliments ?
— Oui…
— Alors arrête d’être une férue de travail, une épouse modèle et affirme-toi en tant que femme, en tant que maîtresse. Tu sais, je l’ai vu souvent te faire des compliments. Et toi ? Jamais ! Essaie d’être moins distante, c’est ton mari tout de même !
— …
— Ma chérie, je souhaite que tu sois heureuse, je ne vais pas te mentir. Je pense sincèrement que si tu y mets un peu du tien tout ira pour le mieux entre vous.
Voilà à peu près le résumé de ce qui s’est dit. Huguette a été impériale et m’a sorti d’un beau guêpier. Le reste de la soirée fut très calme et ma femme adorable. Nous avons passé un très bon repas et, avec Huguette, nous n’avons pas joué au chat et à la souris.
oooOOOooo
Le grand week-end qui suivit a été un grand moment de plaisir. Les deux femmes de ma vie sont allées faire les boutiques le samedi pour être seules et continuer leur discussion. Le soir nous avons mangé chez les beaux-parents et j’ai eu droit à un défilé de mode à la fin du repas. Papy et le fiston couchés, Marine a voulu me montrer ses derniers achats.
Et je peux vous dire que la carte bleue a chauffé (même si belle-maman en a payé une partie). Pantalons, jupes, chaussures, chemisiers, elle se pare de tous, même la lingerie ne m’est pas épargnée. Ma femme se pavanant en dessous dans la maison de ses parents, c’est impressionnant ! Son côté pudique a soudain disparu et j’y vois là le travail de la très chère ...
... Huguette. La situation est presque irréelle. Ma maîtresse me regarde du coin de l’œil en souriant, fière de ce qu’elle a réalisé.
Il reste quatre ans avant la fin de notre relation charnelle, mais je sens déjà que nous nous éloignons légèrement. C’est le point de départ d’un éloignement progressif, d’un ralentissement de la fréquence de nos entrevues friponnes. Je savais pertinemment qu’il fallait bien un début à la fin, mais je me refusais à y penser. Maintenant je suis devant ce fait : les années qui viennent vont passer très (trop) vite et je ne peux rien faire contre la volonté d’Huguette qui a choisi cette date fatidique.
J’ai un pincement au cœur terrible en y pensant et Marine me demande pourquoi mes yeux sont si vides.
— Ma tenue ne te plait pas ?
Comment ne pourrait-elle pas me plaire ? Elle porte un ensemble de lingerie fine superbe qui met en valeur sa poitrine ferme et son fessier cambré. La dentelle, de qualité, laisse voir sans détour la totalité de ses trésors, ses tétons érigés et sous le mont de Vénus je remarque que la forêt a été taillée.
— Elle est superbe, tu es à croquer ma belle (un mot que j’employais très souvent au début de notre relation, mais qui était tombé en désuétude depuis un certain temps).
Marine vient déposer un tendre baiser sur mes lèvres et me susurre que nous laissions le petit ici et que nous rentrions seuls à la maison. Nous ferons l’amour sur et dans la voiture, sur le canapé et même sur la table du salon cette nuit-là. ...