La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1130)
Datte: 02/05/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... hautaine, une certaine frustration envers sa sexualité logiquement bridée par une enfance certainement trop stricte et ceci lui empêchait de vivre ses fantasmes de soumission. Fantasmes, que le Noble était persuadé qu’elle devait avoir bien ancré en elle à son regard affecté quand elle l’avait tantôt salué pour le bonjour de politesse. En effet, derrière ses grands airs hautains, elle n’avait pas pu s’empêcher de baiser les yeux quelques secondes devant le regard Dominateur du Châtelain qui l’avait fixé droit dans les yeux et intensément sans cligner pendant la poignée de main. Elle n’avait pas pu tenir son regard très longtemps avant de se ressaisir par une phrase bateau pour se sortir de la situation, phrase du genre :
- Je vous prie, Monsieur, de me monter le document en question, on ne fait pas attendre l’Administration.
A l’évidence, ce détail prenait tout son sens pour le Noble et sa longue expérience suffirait à la faire plier, c’était une certitude, une évidence pour Lui… En entrant dans la Bibliothèque, Erika constata que le Noble avait beaucoup de goût, la décoration luxueuse était superbe, mais elle était pressée et voulait rentrer dans le vif du sujet.
- Monsieur… je vous … dit-elle. (Et elle ne put terminer sa phrase coupée sèchement par le Noble).
- Madame, vous êtes chez Moi et donc respectez les usages, veuillez m’appeler Monsieur le Marquis d’Evans.
Erika venait d’être rabrouée, c’était la première fois qu’elle subissait un affront aussi ...
... rapidement. Surprise et déstabilisée par le regard toujours aussi intense, perçant et dominateur mais aussi par le ton empli d’autorité, de charisme du Châtelain, elle se reprit presque maladroitement.
- Heu … Excusez-moi, Monsieur le Marquis d’Evans, auriez-vous en votre possession l’original de l’acte de propriété réclamé.
Le Noble sourit, mais d’un sourire sans concession démontrant toute sa hauteur et son sens de la domination de la situation, il venait de marquer un point.
- Oui, bien entendu, mais pourquoi avez-vous refusé une copie ?
- C’est ainsi, c’est moi qui décide quel type de document je dois avoir, pour effectuer mon travail
- Fort bien mais ici c’est moi qui décide, dit le Noble (qui savait qu’elle n’irait pas bien loin dans la joute verbale). Je décide, par exemple, quel type d’attitude auquel je dois attendre de la part de mes visiteurs, et pour vous, je vais vous montrer ce que j’en attends.
Erika fut surprise par cette réponse, qu’insinuait Le Châtelain. Elle se haussa sur ses talons pour se donner de l’importance. Mais sans le montrer (enfin c’est ce qu’elle croyait) qu’elle était également troublée qu’on lui tienne tête…
- Madame, vous arrivez chez moi et vous pensez que vous saurez me commander, vous n’êtes pas dans votre Administration, ici, dit le Noble.
- Mais pas du tout, je ne fais que mon travail.
- Alors faites-le avec moins de dédain et plus de considération pour le contribuable que je suis, dit le Châtelain. Si je le ...