Le sextet de musique baroque (2)
Datte: 01/05/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Jademik, Source: Hds
... bien-être qui me semble suspecte : on a dû ajouter quelque puissant aphrodisiaque dans la sauce du plat de résistance ou peut-être dans le vin. Une dizaine de minutes après, je suis guidée de nouveau dans le salon, du moins je le pense, puis Claire me fait faire plusieurs tours sur moi-même. La partie de colin-maillard proprement dite débute…
D’abord, on enlève mes sandales. Une sorte de balatum est posé par terre et on m’invite à le piétiner. On me fait ensuite m’agenouiller et Claire m’indique que je vais vite comprendre ce qu’il faut faire. Alors que je brasse de l’air dans tous les sens pour essayer d’attraper quelques chose, au milieu des rires et autres chuchotements, plusieurs mains se posent sur moi et entreprennent de me masser, d’abord le dos puis tout le corps. On manipule mes seins, soulève le bas de ma robe, on masse mon ventre et mes jambes, de même que mon derrière. Une de mes mains heurte un ventre d’homme puis, en descendant vers le bas, une sorte de caleçon à l’intrigante protubérance. Pendant que je fais le tour du propriétaire à tâtons, mon autre main vient heurter quelque chose de similaire. On guide alors mes bras vers l’intérieur et mes mains se posent sur les protubérances en question : les deux messieurs bandent déjà dur…
J’entreprends de faire une description tactile complète de leurs membres sans oublier les pendentifs. Me voici, en quelque sorte, en train de « peser le pour et le contre », ainsi que Katie me l’avait demandé ! On m’invite ...
... maintenant à baisser les fins tissus retenant le tout, ce qui me permet, par la même occasion, de palper les fesses correspondantes. Pendant ce temps, je sens ma petite culotte glisser le long de mes cuisses et des doigts fouiller mon intimité. On m’invite à soulever les genoux : je sens le fin vêtement rouler jusqu’à mes talons. On m’écarte les jambes et il y a maintenant quelque chose qui me pénètre, sans doute des doigts. Je prends alors les deux sexes en main et m’applique à les branler doucement. Un troisième vient se poser sur mon front, s’essuie négligemment à mon visage tout en frottant ses couilles sur mes lèvres. Sa taille me semble très importante, ce doit être celui d’Erik. Je sens son odeur musquée ; il laisse échapper quelques gouttes qui perlent à mon front. Quelqu’un guide ma tête et mes épaules vers le bas, afin d’adopter une position horizontale. Le sexe d’Erik cognant distinctement à ma bouche, j’ouvre mes lèvres pour l’accueillir. Je reconnais d’abord le gland, que je suçote le plus délicatement possible et que ma langue enveloppe d’un lent mouvement circulaire, puis tout le membre, que mes lèvres longent sur les côtés et par le dessous, jusqu’aux couilles. Le relief est plutôt musculeux avec de grosses veines saillantes. Je commence ensuite ma fellation, ouvrant ma bouche en grand pour le prendre le plus loin possible. Je commence à onduler nettement du bassin, à peu près en cadence avec le mouvement de ma tête. Quelqu’un dénoue la lanière de ma robe et la ...