Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres… (17) - Histoires de Sexe

Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres… (17)

... son visage hagard du fait des nombreux assauts qu’elle a subis.

On ne lui laisse pas le temps de récupérer. Direction la cave pour la suspendre aux anneaux scellés au plafond. Je la fouette alors en insistant particulièrement sur sa poitrine aux formes voluptueuses. Manon va crier pendant de longues minutes. Est-ce de douleur ou d’autre chose ? Je teste sa fente ruisselante. En fait, elle jouit, car elle aime ça. Je récupère une paire de pinces plates sur l’établi et je serre progressivement, mais fermement l’un de ses tétons. Je vois ses yeux s’embuer de larmes tellement ça lui fait mal, mais elle résiste ; je prends alors une grosse corde et je confectionne un nœud coulant avec. Je passe l’un de ses seins à l’intérieur et je tire sur la ficelle pour bien comprimer à la base celui-ci. Je fais de même avec l’autre. On se croirait dans un exercice de sculpture de ballons de baudruche. Sa poitrine comprimée commence à bleuir, ses tétines s’érigent et sont un appel aux morsures.

En voyant cela, les deux sœurs se précipitent sur ses tétons qu’elles mordillent avec délectation. Le visage de Manon est extatique. C’est le moment de lui travailler la chatte. Je prends la perceuse, équipée d’un gode, sur l’établi. Le gland factice s’introduit dans son vagin trempé. Une fois bien au fond, je mets en route le moteur et j’entame de longs va-et-vient dans son con. Elle pousse des cris de plus en plus violents tellement la jouissance que lui procure l’engin est extrême.

Tout à ...

... mon travail, je ne me suis pas aperçu que Mathilde venait d’entrer dans la cave. Elle est nue comme elle a pris l’habitude de l’être depuis son stage au manoir. Depuis son retour, je ne l’ai plus touchée pour lui laisser le temps de se remettre. Elle s’approche de moi et me murmure à l’oreille :

— Puis-je participer Maître ?

— Tu es sûre d’être bien remise des dernières épreuves que tu as subies ?

— Oui et je ne fais que penser à vous tant je suis heureuse de ce que j’ai enduré et que je continuerai à faire pour vous. Je vous aime à la folie, mais je ne suis jalouse ni de mes filles, ni de votre sœur, ni de cette catin qui se donne à vous depuis maintenant plus d’une heure et que vous avez déjà maté tant votre savoir-faire en la matière est génial.

— Tu sais que ces simples paroles me font bander ? Je n’aime pas le pouvoir que tu sembles vouloir prendre sur moi. Que comptes-tu faire pour te faire pardonner ?

— Vous sucer ? Vous offrir mon cul, ma chatte ? Me faire fister par mes filles ? Me faire fouetter jusqu’au sang ? Quoique vous m’ordonniez, je le ferai !

— Pour l’instant, j’ai envie de toi. Prends cette machine à baiser et continue de fourrer la foufoune de Manon pendant que tes filles accentueront la morsure de ses seins. Penche-toi en avant et offre-moi bien tes fesses. Marie et Chloé, profitez-en pour pétrir la poitrine de votre mère et bien planter vos ongles dans sa chair.

J’enfourne alors mon vit au plus profond de son anus. Je la possède de ...